Dans l’ancienne république soviétique, les ruines des camps de travail sont devenus des sites touristiques. Entre vérité historique et prudence politique, musées, autorités, chercheurs et habitants hésitent encore sur ce qu’il faut dire et ce qu’il vaut mieux taire.
Dans l’ancienne république soviétique, les ruines des camps de travail sont devenus des sites touristiques. Entre vérité historique et prudence politique, musées, autorités, chercheurs et habitants hésitent encore sur ce qu’il faut dire et ce qu’il vaut mieux taire.