Une semaine après que le président du Rassemblement national s’est dit prêt à se porter candidat en cas d’empêchement de sa prédécesseure, cette dernière a appelé ses partisans, jeudi 1er mai, à se «lever contre» une «entreprise de confiscation de la démocratie».
Une semaine après que le président du Rassemblement national s’est dit prêt à se porter candidat en cas d’empêchement de sa prédécesseure, cette dernière a appelé ses partisans, jeudi 1er mai, à se «lever contre» une «entreprise de confiscation de la démocratie».