Basée à Savigny-le-Temple, Obey Me Dolls, qui se définit comme «numéro 1 de la poupée sexuelle en France et en Europe», est accusée d’avoir vendu sur sa plateforme des objets prohibés. Ils ont depuis été retirées du catalogue.
Basée à Savigny-le-Temple, Obey Me Dolls, qui se définit comme «numéro 1 de la poupée sexuelle en France et en Europe», est accusée d’avoir vendu sur sa plateforme des objets prohibés. Ils ont depuis été retirées du catalogue.