Alors que le procès de l’anesthésiste entre dans sa onzième semaine, la cour d’assises du Doubs s’est penchée sur les cas de deux victimes d’un choc adrénergique inexpliqué en 2016, année d’«hécatombe» à la clinique Saint-Vincent de Besançon.
Alors que le procès de l’anesthésiste entre dans sa onzième semaine, la cour d’assises du Doubs s’est penchée sur les cas de deux victimes d’un choc adrénergique inexpliqué en 2016, année d’«hécatombe» à la clinique Saint-Vincent de Besançon.