Dans une interview croisée pour «Libération», l’écrivain italien antimafia Roberto Saviano et le militant Amine Kessaci, qui a enterré mardi son petit frère Mehdi tué par balles à Marseille, déplorent la solitude de leur action face au «pouvoir économique extraordinaire» des barons de la drogue.
Dans une interview croisée pour «Libération», l’écrivain italien antimafia Roberto Saviano et le militant Amine Kessaci, qui a enterré mardi son petit frère Mehdi tué par balles à Marseille, déplorent la solitude de leur action face au «pouvoir économique extraordinaire» des barons de la drogue.