Deux bases de données très sensibles sont concernées : le traitement des antécédents judiciaires et le fichier des personnes recherchées, qui contient notamment les « fiches S ». Le ministre de l’intérieur, Laurent Nuñez, assure toutefois qu’à ce stade, « il n’y a pas eu extraction de millions de données ».
Deux bases de données très sensibles sont concernées : le traitement des antécédents judiciaires et le fichier des personnes recherchées, qui contient notamment les « fiches S ». Le ministre de l’intérieur, Laurent Nuñez, assure toutefois qu’à ce stade, « il n’y a pas eu extraction de millions de données ».