Le cimentier français est soupçonné d’avoir versé en 2013 et 2014, par sa filiale syrienne, plusieurs millions d’euros à des groupes rebelles djihadistes afin de maintenir l’activité d’une cimenterie à Jalabiya, dans le nord de la Syrie.
Le cimentier français est soupçonné d’avoir versé en 2013 et 2014, par sa filiale syrienne, plusieurs millions d’euros à des groupes rebelles djihadistes afin de maintenir l’activité d’une cimenterie à Jalabiya, dans le nord de la Syrie.