À quoi bon la littérature quand le désastre écologique nous est promis si nous refusons de bifurquer ? La Fontaine proposait une réponse : les fables peuvent capter l’attention de ceux qui refusent de voir la catastrophe. On peut ici, avec Ramuz, en trouver une autre : la littérature sert à inventer des histoires restituant aux hommes leurs puissances et limites terrestres en leur rappelant que ce monde qui brûle est tout humain.

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En dépit d’un consensus sur l’échec de la « démocratie participative », l’action publique française reproduit éternellement l’offre publique de participation et creuse un cimetière de dispositifs. Le cas des conseils citoyens est particulièrement emblématique de l’inertie de l’action publique en matière de participation citoyenne et permet tirer des leçons sur l’état de notre démocratie.

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Hors des clous dans lesquels se pense l’art, la perruque est exclue de l’histoire de l’art, inconnue des professionnels du milieu. S’il est vrai que la perruque, délibérément effectuée sous les radars et conceptuellement dérangeante pour la logique patrimoniale et muséale, nourrit sa propre invisibilisation, il faut lutter contre et a minima poser la question : est-elle un art ?

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