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01.07.2025 à 04:35

Jugement mardi pour Mimi Marchand, accusée de chantage sur Karine Le Marchand

FRANCE24

L'accusation a réclamé une peine d'un an de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende à l'encontre de Michèle dite Mimi Marchand, 78 ans, soupçonnée d'avoir fait du chantage à la célèbre animatrice à l'aide de photos de sa fille mineure sortant de garde à vue. En février 2020, Mimi Marchand avait alerté l'animatrice de "L'amour est dans le pré" qu'un "jeune" photographe inconnu avait tenté de lui vendre ces photos. Elle l'avait rassurée, disant les avoir "bloquées" en donnant 3.000 euros au photographe. A la barre, Mimi Marchand a reconnu avoir "menti" - les images avaient été faites par l'un de ses paparazzi habituels, Sébastien Valiela. "Merci Mimi", avait répondu soulagée Karine Le Marchand, avant de "rembourser" une première partie de l'argent avancé, 1.600 euros. Devant le tribunal, Mimi Marchand, s'est "traitée d'idiote et d'abrutie" mais n'a pas donné plus d'explications, et il n'y a pas eu de "remise en cause", a insisté pendant ses réquisitions la procureure, évoquant un sentiment de "toute-puissance". Elle a rappelé que Mimi Marchand avait, après ce "service", multiplié les demandes auprès de l'animatrice, maintenant une "pression". "Il s'agit pour Karine Le Marchand de sauver la réputation de sa fille, ça l'a placée dans des conditions qui l'ont conduite à remettre des fonds, une contrainte morale insidieuse". La défense de Mimi Marchand a plaidé la relaxe. Dans cette "affaire croustillante (qui) n'en est pas une", où apparaît une "façon de profiter de la situation qui n'avait pas lieu d'être", il n'y a juridiquement pas d'extorsion, a soutenu son avocate Me Caroline Toby. La procureure avait aussi réclamé deux ans de prison avec sursis pour violation du secret professionnel contre le policier qui avait donné l'information de la garde à vue au paparazzo Sébastien Valiela, et un an avec sursis contre ce dernier pour recel. Ils étaient tous deux aussi jugés pour les mêmes infractions dans un dossier annexe, également en février 2020: le premier avait alerté le second de la possible arrestation de l'artiste russe Piotr Pavlenski dans l'affaire des vidéos à caractère sexuel de Benjamin Griveaux. A l'ouverture du procès, Piotr Pavlenski s'était fait expulser de la salle après avoir réclamé la relaxe de Mimi Marchand (qui a bénéficié d'un non-lieu sur ce volet), estimant que la diffusion des images de son interpellation participaient à son oeuvre de "pornopolitique".

01.07.2025 à 04:31

La santé libérale descend dans la rue contre les économies imposées

FRANCE24

Initié par 13 organisations syndicales réunies au sein du collectif des #SoignantsTrahis, ce mouvement de contestation interprofessionnelle débutera à 11H00 par un rassemblement sur la place des Invalides. Le cortège s'élancera vers le ministère de la Santé, avec un départ avancé aux alentours de 13H00 en raison de la vague de chaleur écrasante qui sévit en France depuis plusieurs jours et dont le pic est attendu mardi et mercredi. Paris sera d'ailleurs placé en vigilance rouge. "Nous aurons des brumisateurs et des fontaines à eau, et nous sommes assurés que les gens pourront venir avec des gourdes et des bouteilles", a dit à l'AFP Sébastien Guérard, kinésithérapeute et président des Libéraux de santé. Le plan d'économies du gouvernement prévoit notamment de reporter au 1er janvier 2026 les hausses de tarifs initialement prévues au 1er juillet 2025 pour certains spécialistes. L'intersyndicale y voit "un mépris ouvert du système conventionnel et des accords", et les soignants libéraux rappellent que ces mesures sont prises en réponse à une situation économique dont ils ne sont pas responsables. "Une politique de santé responsable ne peut reposer durablement sur des intentions non suivies d'effet", fustige le Conseil national de l'ordre des masseurs-kinésithérapeutes, qui signale "un nombre croissant de radiations du tableau pour départ à l'étranger de kinésithérapeutes, prioritairement vers la Suisse et le Québec". Baisse des remises sur les génériques Une autre colère anime les syndicats de pharmaciens d'officines: le projet gouvernemental de baisser à un taux compris entre 20 et 25% le plafond de remises commerciales consenties par les fabricants aux pharmacies sur les médicaments génériques. Actuellement, les remises sont plafonnées à 40% maximum du prix du générique. Celles-ci étant déclarées auprès de l'Assurance maladie, l'Etat peut voir quel industriel a accordé des rabais et lui demander ensuite des baisses de prix. Ces ristournes constituent un élément de la rémunération des pharmaciens, représentant "un tiers de notre marge", a indiqué à l'AFP Guillaume Racle, conseiller économie pour l'Uspo, qui évalue le manque à gagner à 600 millions d'euros en cas de plafonnement des remises à 20%, soit "30.000 euros par officine". "Aujourd'hui, l'Etat surpaye les médicaments chers et sous-paye des médicaments matures", résume ce pharmacien, observant que "1% des médicaments (en volume) coûtent 42% des dépenses de médicaments de ville". Le coût moyen des traitements évalués comme n'apportant aucun bénéfice clinique supplémentaire par rapport à ce qui existe "progresse depuis 2021 ainsi que leur dépense totale, alors qu'il diminuait dans le passé", reconnaît l'Assurance Maladie dans son rapport annuel sur les coûts et les économies de santé. La baisse des prix résultant de celle des remises va avoir une répercussion sur les emplois en officines et risque d'aggraver les pénuries de médicaments, alertent les syndicats de pharmaciens. La Fédération des pharmaciens d'officine (FSPF), syndicat majoritaire, appelle à "une grève des gardes" à compter du 1er juillet. Des groupements d'enseignes de pharmacies (Federgy, UDGPO...) ont pour leur part appelé, dans un tract, les parlementaires à "soutenir le maintien strict de la réglementation actuelle sur la marge des médicaments génériques".

01.07.2025 à 04:30

Canicule : des records de température battus lundi, le pic de chaleur attendu mardi

FRANCE 24

Lundi, la France a connu sa nuit et sa journée les plus chaudes jamais enregistrées pour un mois de juin, avant un pic attendu mardi, avec des températures pouvant grimper jusqu’à 41 °C et 16 départements placés en vigilance rouge. Fermetures d’écoles, ralentissements de l’activité économique, pics de pollution et orages violents : les effets de la canicule se multiplient.
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