Dans ce texte de cinq pages, le ministre de l'Intérieur rappelle que "la jurisprudence établit la naturalisation non comme un droit, mais comme une décision souveraine du gouvernement".
Si l'élection du nouveau chef de l'Eglise catholique ne sourit pas toujours aux favoris, des noms se détachent, parce qu'ils gravitent déjà dans les cercles du pouvoir à Rome ou parce qu'ils incarnent des régions émergentes.