Interrogé au sujet de la visite d'Emmanuel Macron en Chine, mercredi 3 décembre, l'économiste spécialiste des matières premières, Philippe Chalmin, assure qu'il ne sera pas facile de faire plier Pékin, grand soutien de la Russie, sur la question de la guerre en Ukraine. "La Chine a littéralement satellisé la Russie, elle est essentielle", explique-t-il.
Comme chaque soir, le JT du 23h info fait un tour de l'actualité diffusée par les chaînes européennes de télévision. C'est l'Eurozapping du mardi 2 décembre.
Mardi 2 décembre, lors d'une conférence de presse tenue seulement quelques minutes avant sa rencontre avec l'émissaire américain Steve Witcoff, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que la Russie était prête à faire la guerre aux Européens si ces derniers déclenchaient les hostilités.
La réunion entre Moscou et Washington aura duré environ cinq heures. Plus tôt mardi, le président russe avait menacé les Européens en les accusant de vouloir "empêcher" les efforts américains visant à mettre fin à la guerre en Ukraine.
L'un des objectifs du président de la République est "d'attirer davantage d'investissements chinois en France dans des secteurs qui nous permettent d'accélérer notre transition écologique", explique l'Elysée.
Loïc de la Mornais s'intéresse dans cette 3ème partie à la dernière déclaration du président russe, qui avertit que "si l'Europe veut la guerre, la Russie y est prête". Une séquence à retrouver dans l'émission "Sur le terrain" diffusée entre 21h et 23h sur la chaine info, canal 16.
Astérix s’exporte pour la première fois en Allemagne. Près de Leipzig, un nouveau parc d’attractions ouvrira dès l’année prochaine, adapté aux goûts allemands. Entre albums traduits et héritage culturel, le petit Gaulois et son fidèle Idéfix s’apprêtent à conquérir de nouveaux fans outre-Rhin.
Devant les journalistes, le président russe a appelé les dirigeants européens à renoncer à "l'illusion" qu'ils peuvent infliger une "défaite stratégique à la Russie" et à "revenir à la réalité, en se basant sur la situation sur le terrain".
Invité de "La Matinale", mardi 2 décembre, Claude Blanchemaison fait part de sa connaissance de la diplomatie russe en tant qu'ancien ambassadeur de France en Russie. Il doute notamment que Steve Witkoff, envoyé par Donald Trump à Moscou, puisse faire bouger Vladimir Poutine en vue d'un accord avec l'Ukraine.