Mercredi, le journaliste français Christophe Gleizes a été condamné en appel à sept ans de prison par la justice algérienne. Il avait notamment un projet de livre sur le football en Algérie en collaboration avec Claude Leroy.
Plus de 120 000 : c’est le nombre de caméras de surveillance en Corée du Sud qui auraient été piratées. Le contenu du piratage a été revendu, parfois à des fins p*rnographiques... #actu #coréedusdud
150 000 personnes ont assisté à la messe du pape à Beyrouth au Liban. Une messe célébrée sur le front de mer, après que Léon 14 se soit recueilli sur le site du port là où l'explosion, il y a 5 ans, avait fait 220 morts.
Le gouvernement allemand a mis en service, mardi, son unité de police antidrones, afin de répliquer aux multiples incursions de drones sur les sites stratégiques observées ces derniers mois, et imputées à Moscou.
Pour se protéger des drones russes, les Ukrainiens peuvent compter sur l'aide des pêcheurs et des arboriculteurs français. Ils leur font parvenir des filets pour piéger les drones. Au total, plusieurs kilomètres de filets ont déjà été acheminés sur le front.
En Italie, un ancien boxeur a décidé de faire la chasse aux pickpockets dans le métro et de les dénoncer sur les réseaux sociaux, ce qui suscite la polémique. Héros pour les uns, dangereux justicier pour les autres, que faut-il en penser ?
L'Egypte a démenti mercredi tout accord avec Israël sur l'ouverture du poste-frontière de Rafah aux seules sorties de Gaza, en demandant un transit dans les deux sens, "conformément au plan du président américain Donald Trump".
Le journaliste français Christophe Gleizes, emprisonné en Algérie depuis plusieurs mois pour apologie du terrorisme, voit son procès en appel s’ouvrir à Tizi Ouzou. Ses proches, rassemblés chez Reporters Sans Frontières, espèrent une décision favorable attendue dans la journée.
“Not war, yes peace”. C’est sur ces paroles que le président du Venezuela, Nicolas Maduro, a dansé lundi 1er décembre, alors que le pays fait face à des pressions des Etats-Unis. Début septembre, dans sa lutte affichée contre le narcotrafic, Donald Trump a autorisé des frappes sur ce qu'il présente comme des bateaux de narcotrafiquants vénézuéliens.