Formulée en février, la requête du gouvernement britannique, visant à lutter contre la criminalité, avait suscité une levée de boucliers parmi les défenseurs des libertés individuelles sur la toile. Elle a également suscité de vives critiques au sein du gouvernement américain, y compris de la part de JD Vance et de Donald Trump lui-même, qui, lors d’une visite au Royaume-Uni, avait dressé un parallèle entre celle-ci et la surveillance du gouvernement chinois.