Le chef de file de l’Alliance pour l’unité des Roumains, admirateur de Donald Trump, a recueilli 40,5 %, selon des résultats quasi-définitifs. Il affrontera au second tour, le 18 mai, le maire centriste de Bucarest, Nicusor Dan (20,9 %), qui a dépassé de peu le candidat de la coalition gouvernementale pro-européenne, Crin Antonescu (20,3 %).
Mandat, questions juridiques, immigration, économie… Donald Trump est revenu sur les cent premiers jours de son second mandat dans une interview à NBC News.
Les forces de l’ordre disent avoir agi discrètement, et le concert, auquel 2 millions de spectateurs ont assisté sur la plage de Copacabana, s’est déroulé sans encombre.
L’armée israélienne a confirmé qu’un missile tiré du Yémen avait bien touché la zone de l’aéroport international Ben-Gourion près de Tel-Aviv, dimanche 4 mai.
Le ministre de la sécurité sociale, Carlos Lupi, quitte le gouvernement après la révélation d’un scandale de fraude massive liée aux retraites. L’opposition exploite ce nouveau revers pour le président brésilien, dont la popularité commençait à se redresser après des mois de déclin.
Alors que le territoire autonome danois de 56 500 habitants s’apprête à accueillir un nombre record de visiteurs cette année, le Parlement a adopté une loi visant à encourager les entreprises locales et à limiter l’arrivée des très gros navires de croisière.
Il y a eu « plusieurs tentatives pour intercepter » le tir, en vain, selon l’armée israélienne. Benyamin Nétanyahou a promis de riposter. Tôt lundi matin, les rebelles ont fait état d’une dizaine de frappes américaines sur la capitale yéménite, Sanaa, et ses environs.
La ville, baptisée « Starbase » (« base dans les étoiles »), aura à sa tête un véritable maire, en la personne d’un cadre supérieur de l’entreprise spatiale du magnat allié de Donald Trump.
Un collectif d’historiens européens dénonce, dans une tribune au « Monde », le révisionnisme historique que Moscou diffuse en Occident, particulièrement dans le débat américain, pour rendre acceptable son « opération spéciale » dans une Ukraine « fasciste » à « dénazifier ».
La position stratégique du pays suscite de longue date les convoitises des Européens et des Américains, qui investissent dans ses infrastructures, en concurrence directe avec la Chine. Luanda cherche à tirer parti de ce nouveau jeu d’influences.
Le fondateur de la société de sécurité privée Blackwater entend convaincre Donald Trump de laisser des mercenaires soumettre le Yémen et de transférer au Salvador les détenus américains les plus dangereux, écrit l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.