15.11.2014 à 01:00
Entraînement trail : Rocher de Mutzig
Qui a dit que le mois de novembre ne se prêtait pas aux longues promenades dans notre belle forêt vosgienne ? Évidemment, on n’y rencontre pas beaucoup de monde : c’est l’occasion de prendre des sentiers habituellement fréquentés par les randonneurs et mesurer leur potentiel en entraînement trail ! Le parcours présenté ici est une découverte de la forêt alsacienne du côté de Lutzelhouse (vallée de la Bruche) à une trentaine de kilomètres de Strasbourg.
Description
La plupart des randonnées au départ de Lutzelhouse impliquent de rouler jusqu’aux parkings déjà fort avancés dans la forêt. En effet, les points remarquables (le Jardin des fées, le Rocher de Mutzig, la Porte de Pierre) sont accessibles pour les randonneurs sur des parcours assez longs, que tout le monde n’est pas prêt à assumer, en particulier en famille. En trail, cependant, la question des distances est toute différente. Nous partons donc depuis le village de Lutzelhouse.
Allez garer votre véhicule sur le parking de l’école (et du cimetière) de Lutzelhouse : vous y trouverez une fontaine qui sera fort utile à votre retour, pour nettoyer vos chaussures… Le départ et l’arrivée se situeront ici.
L’essentiel du parcours se concentre sur les deux montagnes dominant le village : le Langenberg et le Katzenberg. Voici les étapes et les points remarquables (voir les photos en fin de billet) :
- Les Deux Chênes
- Kappelbronn (en passant par le séquoïa)
- L’Enceinte du jardin des fées (ancien fort celtique)
- Col du Narion
- Rocher de Mutzig
- La Porte de Pierre
- Col du Wildberg
- Schmeerbuchs
- Waltersbach (village disparu)
- La Grotte du Loup
- Les deux Chênes (retour)
Il s’agit d’un massif très fréquenté par la section alsacienne du Club Vosgien. Le travail remarquable du Club Vosgien dans le balisage et l’entretien des parcours de randonnées trouve ici sa pleine mesure. Une pléthore d’indicateurs, directement visibles sur une carte IGN Top25, donnent une idée des solutions possibles pour atteindre ses objectifs. En trail, se repérer sur les balises du Club Vosgien est assez facile. Sur ce parcours, il faudra toutefois porter son attention aux différents changements de tracé et ne pas suivre inconsidérément les mêmes balises.
Description du parcours
Le parcours fait environ 21 km pour 850m D+. Il est de niveau technique moyen-supérieur pour une durée moyenne de 2h45 (moins ou beaucoup moins selon le niveau, bien entendu). L’idée générale fut d’éviter les grands chemins (routes forestières quasi inévitables à cet endroit) et préférer les « single ». Plusieurs variantes sont possibles, selon votre humeur et votre forme du moment.
Le départ s’effectue à alt. 273 m. Un échauffement sérieux est recquis au départ de manière à affronter la première montée assez raide. Après le 1er kilomètre, la montée s’adoucit de manière durable jusqu’au Kappelbronn (504 m alt.). Le principal passage technique vous attend au lieu bien-nommé « La Grande Côte », et vous mènera jusqu’au Jardin des Fées. Ensuite, jusqu’au Rocher de Mutzig (alt. 1010 m), la montée est continuelle et se termine par un raidillon. La descente est ensuite amorcée, d’abord sur sentiers (dont les bords sont parfois instables, donc prudence) puis sur chemin large en fin de parcours.
Dans l’ordre, voici les signes suivis (nomenclature du Club Vosgien) :
(Le tracé du parcours est par ici)
- Triangle rouge + Rectangle rouge barré de blanc
- Anneau rouge + Rectangle rouge barré de blanc
- Anneau vert
- Anneau jaune
- Rectangle rouge + anneau rouge
- Coix droite jaune
- Triangle rouge + rectangle jaune
- Triangle rouge
- Triangle rouge + Rectangle rouge barré de blanc
03.11.2014 à 01:00
Utiliser OpenTopoMap avec Turtlesport
Petit truc : voici la manière d’utiliser les fonds de carte OpenTopoMap avec Turtlesport.
Il suffit pour cela de se rendre dans Aide > Préférences > Carte / Fournisseur
. À cet endroit, il est possible d’indiquer le fond de carte que l’on souhaite utiliser. Pour OpenTopoMap, il faut entrer l’adresse suivante :
http://a.tile.opentopomap.org/#zoom#/#x#/#y#.png
Pour le zoom, le minimum est à 1 et le maximum à 17.
(Merci @Turtlesport qui m’a confié la bonne adresse)
20.10.2014 à 02:00
Manipuler des fichiers PDF
La manipulation de fichiers PDF sous GNU/Linux fut longtemps un problème a priori insurmontable. Même sous les autres systèmes d’exploitation, l’achat de logiciels de la marque Adobe était nécessaire. Certes, ces derniers logiciels fort complets permettent bien d’autres choses, propres en particulier dans le monde du graphisme et de l’édition, pourtant il importe de se pencher sur certains besoins : annoter des PDF, voire procéder à de menues modifications, extraire un certain nombre de pages d’un long PDF pour les communiquer ensuite, fusionner plusieurs PDFs, etc.
Xournal
Xournal est un logiciel de prise de note basé sur le même modèle que Gournal, NoteLab ou Jarnal.
Ces logiciels (dont il existe des versions pour GNU/Linux, Mac et MSWindows) sont normalement destinés à être utilisés via une tablette graphique ou un écran tactile, afin d’imiter la pratique de prise de note sur un bloc papier.
Xournal a ceci de particulier qu’il demeure tout à fait fonctionnel sans dispositif tactile. L’organisation des pages de notes est très simple à l’utilisation et la prise en main est rapide.
Comme les autres logiciels cités plus haut, un avantage de Xournal est la possibilité d’ouvrir des fichiers PDF, les annoter, insérer du texte, surligner, et exporter le fichier ainsi édité (en fait il s’agit d’un calque que vous pouvez soit garder comme calque, soit exporter un nouveau PDF intégrant le calque sur le PDF original).
Vous rêviez de pouvoir éditer un PDF? Que votre voeu soit exaucé! Xournal est conçu pour une interface utilisant GTK, ce qui permet une excellente intégration au bureau Gnome. Dans le fichier de configuration, vous pourrez de même modifier quelques réglages usuels, selon les particularités de votre matériel ou vos envies. Une liste des options du fichier de configuration est disponible dans le manuel de Xournal (section “Configuration File”).
Couper, extraire, fusionner : PdfTk et PdfMod
Pour les autres tâches, obéissant à la logique Unix selon laquelle un logiciel se destine à une tâche (“write programs that do one thing and do it well”), deux logiciels méritent toute notre attention : pdftk et Pdf Mod.
Pdftk fait partie de ces programmes très efficaces mais dont l’utilisation rebute souvent le néophyte mal à l’aise avec la ligne de commande. Pourtant les commandes de pdftk sont extrêmement simples : concaténation, extraction, et sortie de nouveau pdf sont les actions les plus couramment demandées mais pdftk est capable de bien des choses (la page de la documentation Ubuntu consacrée à pdftk est assez éloquente sur ce point).
Un second programme est sans doute plus abordable puisqu’il utilise une interface graphique. Pdf Mod permet l’extraction et l’import d’éléments dans un fichier pdf en n’utilisant que la souris. Élaboré en un en temps record par Gabriel Burt, contributeur de talent aux logiciels plus connus tels que Banshee et F-Spot, nul doute que les futures amélioration de Pdf Mod répondront à la majorité des besoins des utilisateurs.
- Xournal (Site officiel)
- pdftk (Site officiel)
- Doc. Ubuntu(pdftk)
- Exemples d’utilisation de pdftk
- PdfMod (site officiel)
- Blog de Gabriel Burt
- Article Pdf Mod sur Silicon.fr
06.10.2014 à 02:00
Station de trail de Gérardmer - Parcours 5
Le réseau des stations de trail est une initiative conjointe de la société Raidlight et d’acteurs territoriaux (voir l'historique). Depuis le printemps 2014, Gérardmer dispose de sa station de Trail et fait désormais partie du réseau. Au moins deux événements réguliers et célèbres se déroulent sur la station : l'Ultra-montée du Tetras et le Trail de la Vallée des Lacs. Mais la station propose plusieurs parcours et ateliers qui présentent un grand intérêt pour les coureurs, de passage ou habitant des environs, et permettent de découvrir la région de Gérardmer d’une manière originale…
Description
Se rendre à la station de trail est très simple. Arrivé à Gérardmer, suivez simplement les indications des pistes de ski alpin de la Mauselaine. Allez tout au bout du parking, c’est là que se situe le départ
Si toutefois vous souhaitez profiter des dispositifs de la station de trail (casier, douche, salle de repos) pour une somme modique (5 euros la journée), il vous faudra passer à l’Office du tourisme au préalable. Tout est expliqué sur le site de la sation.
Par ailleurs, cet article de Fredéric Flèche montre très bien, avec des photos, la configuration des lieux.
Une fois à la Mauselaine, rendez-vous au niveau des caisses de la station de ski, poursuivez le chemin en direction du télésiège sur une centaine de mètres. Vous trouverez un mur en béton sur lequel sont affichés les différents parcours et ateliers.
La signalétique est simple : vous choisissez votre parcours et vous suivez son numéro inscrit sur les balises. Plusieurs parcours empruntent parfois les mêmes balises, ce qui explique que celles-ci puissent être composées de plusieurs chiffres (par exemple 57 pour les parcours 5 et 7). Un code couleur (niveau de difficulté) est aussi disponible. Le mieux est de choisir votre parcours depuis chez vous sur le site de la station : vous pourrez ainsi consulter la météo (parfois fort capricieuse en ces lieux) et regarder de plus près le profil altimétrique.
Nous allons nous pencher plus précisément sur l’un des parcours de la station la Boucle des Écarts, le numéro 5.
Le parcours 5
Les parcours de la station n’ont pas seulement été élaborés en fonction des aspects techniques des entraînements. Ils ont aussi été imaginés par des amoureux de la Vallée des Lacs, soucieux de procurer au traileur les meilleurs souvenirs.
Au programme : des points de vues enchanteurs, une végétation changeante et des lieux parfois même trop peu connus des habitants.
Si le soleil est au rendez-vous, bien que discret dans les sous-bois, votre course sera d’autant plus agréable.
Avant tout, il faut expliquer pourquoi la Boucle des Écarts porte ce nom. Un écart, dans les Hautes Vosges, est une petite prairie isolée sur les hauteurs d’une vallée, souvent dotée d’une ou plusieurs fermes. Au fil du parcours, vous allez donc croiser des lieux forts anciens. La plupart du temps, en l’absence d’élevage, vous ne verrez que des épicéas. Mais à l’époque, tous ces endroits étaient fortement défrichés et servaient de pâturages.
Dans l’ordre du parcours, les noms des principaux écarts sont les suivants : La Mauselaine (avant d’être une station de ski), la Rayée, le Grand Étang, Les Bas Rupts, La Poussière, la Basse du Rôle, l’Urson, la Grande Mougeon, Le Phény, Mérelle (étang), Ramberchamp, Le Costet.
Passons au vif du sujet. Le parcours est dans l’ensemble un bon entraînement aux montées, bien que celles-ci soient assez courtes. La distance est de 16 km pour 762m+, ce qui ne demande pas un haut niveau technique.
La morphologie du terrain comporte du sentier (50%, dont deux passages pierreux en descente), du chemin forestier (35%) du bitume (15% surtout en ville). Les bâtons ne sont pas du tout nécessaires. Sur l’ensemble du parcours le balisage est très clair et les balises ne manquent pas (même si on peut toujours améliorer l’existant déjà de très bonne qualité). Par ailleurs, l’état du parcours est normalement indiqué sur le site de la station de Trail qui insiste bien sur ce point : se renseigner avant de partir !
Si vous partez depuis le mur des parcours, à la Mauselaine, redescendez quelques foulées en direction du parking : le parcours débute par l’ascension d’une piste de ski (là où se situent les petits téleskis)…
Retournez-vous de temps en temps pour admirer le point de vue sur Gérardmer. Sur la totalité du parcours on peut recenser quelques montées et descentes remarquables (plus ou moins techniques).
Je vous conseille d’imprimer le topo disponible sur le site de la station, avec le profil altimétrique. Il y quatre passages qui selon moi méritent d’être mentionnés :
- La première montée, sur une piste de ski herbeuse et parfumée… Cette manière de débuter un parcours n’est pas forcément ultra-confortable, alors on y va doucement car la montée est assez longue. Cette partie du parcours est néanmoins originale, et aucune pierre ne vient vous gâcher la foulée.
- La montée depuis le Col du Haut de la côte (km 4 à 6): il s’agit d’un chemin forestier très roulant en faux-plat qui se termine par une côte raide à travers les épicéas. Là, il faut savoir monter sans précipitation, mais cette difficulté reste assez courte.
- La descente depuis Mérelle jusqu’au lac de Gérardmer (km 11 à 12): un sentier assez pierreux sur lequel il faut absolument rester attentif aux promeneurs. Attention par temps de pluie aux pierres glissantes.
- La dernière montée, depuis les rues de Gérardmer jusqu’à la Mauselaine en passant par la Roche du Rain et le Costet (km 14 à 16): sachez garder un peu d’énergie sous la semelle car il est facile de se laisser aller à quelques accélérations en fin de parcours et se retrouver à sec lorsqu’il faut dépenser encore de l’énergie jusqu’à l’arrivée.
Lorsque vous arrivez au pied de la Tour de Mérelle, et si vous ne connaissez pas cet endroit, je vous conseille fortement d’appuyer sur la touche STOP de votre chrono et de gravir la centaine de marches de la tour : une splendide vue sur la vallée de Gérardmer vous y attend! S’il n’y a aucun visiteur, ne vous arrêtez pas et considérez cette ascension comme une partie du parcours, cela ajoutera un peu de dénivelé (mais ne descendez pas les marches en courant, c’est trop dangereux).
Enfin, vous aurez noté que le parcours passe sur les bords du lac de Gérardmer puis dans le centre ville… Suivant l’heure de la journée, vous risquez de vous retrouver à slalomer entre les passants, ce qui peut ne pas être agréable, surtout en fin de parcours.
Le bord du lac, en particulier au niveau de la passerelle du complexe nautique, figure parmi les endroits les plus fréquentés en saison et les week-end: enfants en vélo, poussettes, sorties familiales, etc. Essayez donc plutôt de passer derrière le complexe nautique pour rejoindre directement la D486, même si cela vous oblige à arpenter du bitume.
Vous pouvez aussi éviter les trottoirs du centre ville de la manière suivante : si vous passez par la D486, vous tomberez sur un rond-point. Prenez à droite (Rue du 29e BCP), montez et prenez la deuxième rue à gauche (Rue Haute) : vous évitez le centre ville et arriverez derrière la mairie. Vous pouvez alors rattraper le parcours à cet endroit.
Le tracé en lien ci-dessous n’est pas le parcours normal : pour moi, le début se situe à Gérardmer. Mais vous pouvez voir comment j’évite le centre ville.
01.10.2014 à 02:00
Trail : créez et partagez votre parcours en 5 minutes avec OpenStreetMap
Se livrer à son sport favori avec des outils libres, ce n’est pas toujours évident. L’un des obstacles à franchir est de travailler avec des fonds de cartes libres et pouvoir en faire à peu près ce qu’on en veut.
Ce petit tutoriel rapide à propos de Umap va sûrement vous être utile! Vous venez de faire votre parcours (ou vous en projetez un) et vous brûlez d’envie de partager le tracé avec vos amis? Il existe pour cela plusieurs solutions :
- Vous disposez d’un appareil qui se charge pour vous de téléverser votre tracé et une flopée de données personnelles sur un site de partage. Là, tant pis pour vous et la confidentialité de vos données, c’est un choix.
- Vous prenez une carte, vous scannez et dessinez ensuite le parcours par dessus… un peu laborieux, non?
- Vous téleversez votre tracé sur un site qui offre des fonds de carte et un éditeur prêts à l’emploi. Généralement un fond de carte IGN (issu de Géoportail) est accessible. C’est là aussi un choix, mais votre carte ne sera toujours pas libre.
- Vous travaillez avec Umap.
C’est quoi Umap ? Il s’agit d’une application en ligne utilisant plusieurs fonds de cartes issus du projet OpenStreetMap. Comme il s’agit de cartographie libre vous pouvez alors en disposer à votre guise pour afficher vos parcours sur votre site ou partout ailleurs sans contrevenir à des questions de copyright. Vous pouvez même choisir la licence sous laquelle votre tracé pourra être partagé. Étape par étape, voici comment faire pour obtenir le tracé ci-dessous, c’est à dire permettre à d’autres de visualiser une zone de carte sur laquelle on a tracé quelque chose.
Étape 1
- Rendez-vous à l’adresse umap.openstreetmap.fr et ouvrez un compte (soit sur OpenStreetMap, ou en vous connectant avec vos comptes Github ou même Twitter si vous en avez).
- Cliquez sur “créez une carte”.
L’interface est relativement simple mais son aspect dépouillé (au profit de la cartographie) peut paraître déroutant.
En gros, à gauche vous disposez des outils vous permettant d’interagir avec le site et l’interface. À droite, vous disposez des outils d’édition. Ce sont ces derniers que nous allons voir de près.
L’idée générale est de partager un ou plusieurs calques sur un fond de carte. En termes clairs : je dessine quelque chose sur un calque et je partage ce calque pour l’afficher avec le fond de carte de mon choix. Les trois premiers boutons sont très faciles a) insérer un marqueur, b) tracer une ligne ou une c) forme. Pour chaque éléments que je dessine, qu’il s’agisse de ligne, de forme ou de parcours, je pourrai lui assigner des propriétés : un nom, un descriptif, des couleurs et d’autres propriétés (épaisseur de trait, interactivité, etc.) Ensuite, dans l’ordre d’apparition des boutons : d) importer des données, e) modifier les propriétés de la carte, f) changer le fond de carte, g) centrer la carte sur la zone que l’on est en train de travailler, h) gérer les permissions (possibilité de rendre l’accès privé).
Étape 2
- Importez vos données (outil d) soit depuis votre machine (bouton “parcourir”) soit depuis une url. Choisissez le format utilisé (par exemple GPX) et cliquez sur Importer.
- Sitôt importé, le tracé se dessine sur la carte qui se centre automatiquement sur la zone concernée.
- En double-cliquant sur le tracé du parcours, chaque point pourra être édité.
Étape 3
- Allez ensuite dans les paramètres (bouton e).
- Donnez un nom à votre carte et un descriptif.
Étape 4
- Ajoutez un ou plusieurs marqueurs pour définir des points remarquables de votre parcours : le départ, l’arrivée, un point de vue, etc.
- À chaque marqueur vous pourrez définir son nom (s’affichera au survol de la souris), un descriptif. Dans les propriétés avancées, vous pouvez définir sa couleur, sa forme. Dans les coordonnées, vous pouvez affiner si besoin en modifiant la latitude et la longitude.
Étape 5
Revenez aux paramètres de la carte (bouton e), puis:
- dans les Options d’Interface, cochez les boutons dont vous laisserez l’usage à vos lecteurs. Les paramètres par défaut peuvent suffire dans un premier temps.
- Les propriétés par défaut vous permettent de valoriser les éléments de votre carte en particulier le tracé. Choisissez par exemple une couleur bien tranchée (un rose fushia!)
- Dans notre exemple, nous avons choisi une opacité de 0.5 points et une épaisseur de 8 points.
- Bien d’autres options sont disponibles, vous pourrez y revenir plus tard.
Étape 6
- Cliquez sur enregistrer le zoom et le centre actuel (bouton g). Cela permettra à vos lecteurs d’accéder directement à la zone sur laquelle vous travaillez.
- Dans la partie crédit : renseignez les crédits que donnez à votre carte. Ici, nous plaçons la carte sous licence libre CC-By-SA.
Étape 7
- Cliquez sur le bouton f pour afficher les différents fonds de carte disponibles.
- Si vous courrez en ville, le fond de carte par défaut (OSM-Fr) devrait être suffisant. Si par contre vous courrez en nature (montagne, campagne, etc), et pour obtenir un affichage plus proche de ce que vous connaissez habituellement, choisissez le fond Open Topo Map
- Cliquez sur Enregistrer, en haut à droite.
Étape 8
- Allez sur les outils de gauche et cliquez sur le bouton exporter et partager la carte.
- Vous avez alors votre disposition le code l’iframe que vous pourrez coller sur votre site web ou ailleurs. Les options d’export vous permettent de régler la hauteur, la largeur et autres options que vous laissez à l’usage de vos lecteurs (à savoir: le lien “plein écran” permettra au lecteur d’afficher la carte ne grand sur le site Umap).
- L’autre solution étant tout simplement de copier l’url de votre carte (dans la barre de votre navigateur) et de l’envoyer à vos correspondants.
26.09.2014 à 02:00
Internet, pour un contre ordre social
Les bouleversement des modèles socio-économiques induits par Internet nécessitent aujourd’hui une mobilisation des compétences et des expertises libristes pour maintenir les libertés des utilisateurs. Il est urgent de se positionner sur une offre de solutions libres, démocratiques, éthiques et solidaires.
Voici un article paru initialement dans Linux Pratique num. 85 Septembre/Octobre 2014, et repris sur le Framablog le 5 septembre 2014.
Téléchargements :
- Persos A à L
- Carmine
- Mona CHOLLET
- Anna COLIN-LEBEDEV
- Julien DEVAUREIX
- Cory DOCTOROW
- Lionel DRICOT (PLOUM)
- EDUC.POP.FR
- Marc ENDEWELD
- Michel GOYA
- Hubert GUILLAUD
- Gérard FILOCHE
- Alain GRANDJEAN
- Hacking-Social
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- Dana HILLIOT
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- Tagrawla INEQQIQI
- Infiltrés (les)
- Clément JEANNEAU
- Paul JORION
- Michel LEPESANT
- Frédéric LORDON
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- Christophe MASUTTI
- Jean-Luc MÉLENCHON
- Romain MIELCAREK
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