L'Institution a estimé que les poursuites devaient être considérées "non comme revêtant un caractère dissuasif à l'expression de leur message, mais comme faisant partie de leur stratégie de communication".
Lors de sa reddition, le suspect avait affirmé avoir "tué la première personne qu'il a trouvée" et nié avoir été motivé par une haine des musulmans, selon son avocat. Une deuxième expertise a été demandée par la justice.