L’ex-secrétaire du mouvement islamiste Ennahdha était poursuivi dans l’affaire des réseaux d’envoi de djihadistes tunisiens vers les zones de conflit. Un procès contesté du fait du manque d’éléments matériels établissant l’existence de réseaux structurés.
Ils sont soupçonnés d’avoir été les « instigateurs, les relais, les recruteurs et les exécutants » ayant pris pour cible des agents pénitentiaires, selon la procureure de Paris, Laure Beccuau.
L’Etat hébreu est présent en Syrie depuis plusieurs mois, notamment dans des régions habitées par la minorité confessionnelle visée, cette semaine, par des groupes liés au nouveau pouvoir.