Le 8 août, le premier ministre israélien a annoncé son intention de mener une nouvelle offensive militaire dans l’enclave palestinienne. L’objectif, cette fois, est la prise de contrôle de la totalité du territoire.
L’ancien chef d’Etat a écrit, en 2024, une lettre au président argentin, Javier Milei, affirmant être persécuté politiquement, quelques jours après le lancement d’une enquête le visant pour tentative de coup d’Etat. Par ailleurs, la police a demandé qu’il soit inculpé, ainsi que son fils, pour avoir tenté d’entraver les poursuites judiciaires.
Même si Israël reste suspendu à la décision de Benyamin Nétanyahou sur l’accord temporaire de cessez-le-feu, les mouvements de troupes autour de la plus grande ville de l’enclave palestinienne, présentée comme un « bastion » du Hamas, ont déjà commencé. D’ici à quelques semaines, plus de 120 000 réservistes devraient être sur le terrain.
Les 5 000 Palestiniens qui habitent ce petit territoire qui sépare Jérusalem-Est de la colonie israélienne de Maalé Adoumim ont reçu l’ordre d’évacuer. L’opération de destruction des habitations pourrait débuter dès jeudi, ruinant la possibilité d’un Etat palestinien.
« Lettres d’Amérique » (4/6). L’écrivain et journaliste Thomas Chatterton Williams évalue les dangers de la « culture du boycott ». Mieux vaut dialoguer, même durement, dans le monde réel que de « punir et ostraciser » sur les réseaux sociaux, dit-il.