Si les Gazaouis sont les premières victimes des violations des droits humains dans l’enclave, les retombées économiques pourraient être catastrophiques aussi pour Israël, prévient, dans une tribune au « Monde », un collectif de professeurs d’économie européens et américains, dont dix Prix Nobel.
La batterie de sanctions voulue par Emmanuel Macron est perçue, de l’autre côté de la Méditerranée, comme un ralliement du chef de l’Etat aux partisans de la ligne dure incarnée par le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, face aux tenants du dialogue prôné par le chef de la diplomatie, Jean-Noël Barrot.
Le 8 août, le premier ministre israélien a annoncé son intention de mener une nouvelle offensive militaire dans l’enclave palestinienne. L’objectif, cette fois, est la prise de contrôle de la totalité du territoire.
L’ancien chef d’Etat a écrit, en 2024, une lettre au président argentin, Javier Milei, affirmant être persécuté politiquement, quelques jours après le lancement d’une enquête le visant pour tentative de coup d’Etat. Par ailleurs, la police a demandé qu’il soit inculpé, ainsi que son fils, pour avoir tenté d’entraver les poursuites judiciaires.
Même si Israël reste suspendu à la décision de Benyamin Nétanyahou sur l’accord temporaire de cessez-le-feu, les mouvements de troupes autour de la plus grande ville de l’enclave palestinienne, présentée comme un « bastion » du Hamas, ont déjà commencé. D’ici à quelques semaines, plus de 120 000 réservistes devraient être sur le terrain.
Les 5 000 Palestiniens qui habitent ce petit territoire qui sépare Jérusalem-Est de la colonie israélienne de Maalé Adoumim ont reçu l’ordre d’évacuer. L’opération de destruction des habitations pourrait débuter dès jeudi, ruinant la possibilité d’un Etat palestinien.
« Lettres d’Amérique » (4/6). L’écrivain et journaliste Thomas Chatterton Williams évalue les dangers de la « culture du boycott ». Mieux vaut dialoguer, même durement, dans le monde réel que de « punir et ostraciser » sur les réseaux sociaux, dit-il.
« Exils » (21/30). Sas L Rhodes, 39 ans, est arrivée de Nouvelle-Zélande à Paris en 2013, pour une année sabbatique. Malgré une première impression déplorable, elle a choisi de rester en France.
La Chambre des représentants de cet Etat républicain a approuvé la nouvelle version de la carte qui devrait permettre au Grand Old Party d’engranger cinq sièges supplémentaires au Congrès à Washington. Le Sénat local doit l’adopter à son tour avant la promulgation par le gouverneur.
Dans cette affaire qui embarrasse Donald Trump, le juge Richard Berman estime que le gouvernement dispose de dossiers bien plus complets, et que la demande formulée par l’administration du président américain constitue une « diversion ».
Le président américain poursuit son entreprise de déstabilisation de la banque centrale, qui ne baisse pas les taux assez vite à son goût. Mercredi 20 août, il a exigé le départ de l’une de ses dirigeantes sur son réseau Truth Social.