Xi Jinping tisse méthodiquement sa toile économique et commerciale, notamment en Afrique et au Brésil, pour contrer les Etats-Unis de Trump. Mais des critiques émanent de ces pays sur le partage inégal de la valeur entre eux et le géant chinois, observe dans sa chronique Harold Thibault, correspondant du « Monde » en Chine.
En bombardant la prison d’Evin, Israël a détruit un lieu de terreur autant qu’un foyer d’espoir, puisque étaient incarcérés là de nombreux dissidents, estime, dans une tribune au « Monde », Louis Arnaud, qui y fut détenu pendant deux ans.
Depuis la levée de l’embargo sur les armes instauré par l’ONU en 2009, le pays « reconstruit son armée, renforce ses défenses », selon l’ONG américaine The Sentry dans un rapport publié le 30 juin. Elle revient également sur les exactions commises pendant la guerre du Tigré.
Andreï Klepach, économiste en chef de la Vnesheconombank, la banque publique de développement russe, estime, dans un entretien au « Monde », que l’économie de son pays est en stagnation, mais mise sur une reprise à l’automne.
Cette mesure est destinée à endiguer le flux de l’immigration irrégulière, devenue l’un des principaux sujets du débat politique en Pologne depuis la campagne pour l’élection présidentielle du 1ᵉʳ juin, remportée par le conservateur Karol Nawrocki.
Ryland Headley a été reconnu coupable d’avoir violé et tué Louisa Dunne, une veuve âgée de 75 ans, retrouvée étranglée chez elle à Bristol, dans le sud-ouest de l’Angleterre, il y a près de soixante ans.
Même si les arguments étaient fallacieux, Vladimir Poutine avait cherché à justifier l’invasion de l’Ukraine en invoquant le droit international. Aujourd’hui, s’inquiète le professeur en droit public dans une tribune au « Monde », des puissances comme les Etats-Unis et Israël ne cherchent même plus à donner le change juridiquement. Cette « franchise » n’est pas sans conséquence.
Sept mois et demi après son arrestation à Alger, l’écrivain franco-algérien a écopé de cinq ans de prison. Son sort est au cœur de la brouille diplomatique qui oppose depuis plusieurs mois Paris et Alger.
Les rassemblements en hommage aux victimes du mouvement citoyen de 2024 ont viré au chaos entraînant l’arrestation de 485 personnes. Les Nations unies ont appelé au calme.
La cheffe du gouvernement a annoncé qu’elle « acceptait » cette décision, le temps que les juges délibèrent sur des accusations de manquements à l’éthique brandie par des sénateurs conservateurs.
La deuxième réunion de la commission mixte organisée lundi 30 juin à Paris a une nouvelle fois acté le différend qui oppose les deux pays sur l’avenir de cet archipel inhabité situé dans le canal du Mozambique.