Plus de 600 drones et missiles russes ont été tirés dans la nuit du 20 au 21 août, selon l’armée ukrainienne. Cette offensive survient alors que les initiatives diplomatiques pour parvenir à un accord de paix avec Moscou se multiplient.
Alors que 11 Etats membres européens ont déjà pris en charge des blessés évacués de l’enclave, Copenhague s’y oppose, craignant de voir une hausse des demandes de regroupement familial. Ce refus est dénoncé par les personnels de santé.
Amnesty International accuse les autorités américaines d’utiliser des outils développés par les entreprises Babel Street et Palantir, « qui permettent un suivi, une surveillance et une évaluation de masse constants ».