Fruit d’une nouvelle collaboration entre l’écrivain et le metteur en scène, la pièce orchestre la rencontre d’un trio improbable dont les digressions philosophico-existentielles manquent d’égarer le public en route.
Dans «Vita mia», publié en réaction à la guerre en Ukraine et à Gaza, la dramaturge et poète italienne revisite son internement dans une prison japonaise entre 1943 et 1945 alors qu’elle était enfant. Et raconte comment sa famille a tenu grâce à l’écriture.