Un siècle et un milliard d’euros plus tard, le fleuve parisien s’ouvre à nouveau à la baignade. Un retour aux sources qui symbolise tant la persévérance écologique d’Anne Hidalgo que la métamorphose d’un cours d’eau jadis synonyme de labeur ouvrier.
Considérons les vestiges du passé non plus comme le catalogue des horreurs d’une humanité qui enchaîne crimes et atrocités, mais comme les produits d’une quête infinie d’amour et de bonheur.