Si le texte socialiste a été voté ce mardi 6 mai à l’unanimité par les sénateurs, le désaccord demeure avec l’Assemblée nationale sur l’indemnisation des personnes homosexuelles victimes de discriminations entre 1942 et 1982.
Sans antisémitisme et sans sa condamnation, Alfred Dreyfus aurait «accédé naturellement aux plus hauts grades», avance ce mardi 6 mai l’ex-Premier ministre Gabriel Attal.