Le vice-président américain J.D. Vance et le chef de la diplomatie Marco Rubio ont violemment critiqué vendredi 2 mai au soir la décision de l‘Office de protection de la Constitution concernant le danger de l’idéologie prônée par la formation politique.
L’échec du quinquennat Hollande à sauver le site mosellan en 2012, présent dans toutes les mémoires, alimente les tensions entre socialistes et insoumis autour du site de Dunkerque.
L’annonce de la suppression de plus de 600 postes en France par le géant de la sidérurgie mobilise la gauche, qui demande à l’exécutif une mise «sous tutelle». Après les fausses promesses, il faut désormais apporter une réponse à la hauteur des attentes d’ouvriers d’ArcelorMittal.
La proposition de loi votée ce vendredi 2 mai dans l’hémicycle permettrait aux malades souffrant d’une «affection grave et incurable» qui «engage le pronostic vital, en phase avancée ou terminale» de recevoir ou s’administrer une substance létale.
A 16 ans, le Finistérien embarque en juin 1940 à bord d’«Ar Zénith», le premier navire civil à rejoindre l’Angleterre, où il s’engage dans les Forces françaises libres. Il est mort à 101 ans.
Après avoir quitté le défilé parisien du 1er Mai, Yoan, 37 ans, syndicaliste CGT, regagnait le métro avec sa compagne lorsqu’il a été agressé par deux militants d’extrême droite qui se sont revendiqués du Groupe union défense (GUD). Une plainte a été déposée.
Après avoir estimé qu’un «Maghrébin n’a pas sa place dans les hauts lieux de l’Etat», l’élu de l’Yonne avait été jugé mi-avril au tribunal judiciaire de Sens. Le délibéré a été rendu ce vendredi 2 mai.
A l’image des discussions autour de l’ouverture des boulangeries le 1er Mai, l’injonction à la productivité, poussée par le gouvernement, revient en force dans le débat public, passant sous silence la qualité de vie au travail.
Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé à Paris, et au moins 150 000 en France, à l’occasion de la fête des travailleurs. L’occasion de questionner les injonctions à toujours plus de travail.
Un stand du parti a été pris à partie dans l’après-midi, ce jeudi, par des manifestants cagoulés. Le président du groupe à l’Assemblée nationale, Boris Vallaud, a annoncé saisir le procureur de la République.
Une semaine après que le président du Rassemblement national s’est dit prêt à se porter candidat en cas d’empêchement de sa prédécesseure, cette dernière a appelé ses partisans, jeudi 1er mai, à se «lever contre» une «entreprise de confiscation de la démocratie».
La collectivité présidée par Renaud Muselier a menacé, jeudi 24 avril, de retirer son financement à l’école si celle-ci n’interrompt pas son usage de l’écriture inclusive dans ses communications. Ce qui fragiliserait un dispositif d’insertion professionnelle qui a déjà fait ses preuves.
Vaincu aux législatives de 2024, le numéro 1 du Parti communiste repart au front médiatique sur une thématique qui, espère-t-il, lui donnera un nouvel élan.
Dans une tribune publiée par le «HuffPost», Boris Vallaud et Julien Gokel annoncent le dépôt d’une proposition de loi d’urgence dans les prochains jours pour mettre le site sous tutelle. Une manifestation est prévue ce jeudi 1er mai devant ArcelorMittal Dunkerque.
Moments de concorde et de recueillement, ces minutes de silence observées dans l’hémicycle donnent lieu à des passes d’armes entre les différents groupes politiques.
Plus de 260 défilés sont prévus en France ce jeudi 1er mai, avec pour mot d’ordre la lutte «contre l’extrême droite, pour la paix, les libertés et la justice sociale».
Selon un sondage Harris Interactive pour le magazine «Regards», 26 % des électeurs voteraient pour un candidat unique de la gauche. 20 % si les insoumis partaient seuls de leur côté.
Alors que la cheffe de file du parti d’extrême droite s’est dite prête à toper avec le Premier ministre pour mettre en place la proportionnelle, la grande majorité de ses députés se disent opposés à ce mode de scrutin, qui risque de leur faire perdre leur siège.
Le député Renaissance et Gabriel Attal doivent être reçus ce jeudi 1er mai par le Premier ministre François Bayrou. Les macronistes plaideront pour garder le mode de scrutin majoritaire aux législatives.
Descentes racistes, attaques de manifestations de gauche et réunions pro-Palestine, références nazies… Les héritiers du Bastion social, dirigés par un certain Eliot Bertin, sont dans le viseur du ministre de l’Intérieur.
Le ministre de l’Intérieur a une nouvelle fois affiché ce mercredi 30 avril sa volonté de «taper sur les islamistes». Il engage également la dissolution du groupuscule d’extrême droite Lyon populaire.
Les élus de l’Essonne, des Yvelines et des Bouches-du-Rhône sont visés par trois recours pour faute en responsabilité déposés par des familles d’enfants placés, selon les informations de «France info» publiées ce mercredi 29 avril.
L’ex-président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a accordé 870 000 € à deux établissements privés hors contrat du réseau Espérance banlieues, en contournant l’interdiction de subventionner ces écoles avec de l’argent public.
Sur BFM TV mardi soir, le leader insoumis et probable candidat à la prochaine présidentielle pense que les électeurs «préfèrent le politique qui a des défauts et des convictions que ceux qui n’ont pas de défaut mais pas de conviction».
Cette idée, soumise par un ministre de la Justice tout à ses ambitions personnelles, risque de précariser davantage une population qui vit déjà dans des conditions souvent indécentes.
La société tient mieux que ses élites et ceux qui sont censés la représenter. Mieux que le spectacle d’une France cataclysmique, apocalyptique, à feu et a sang qu’en donnent les noircisseurs quotidiens de droite, d’extrême droite et leur relais médiatiques.
Plusieurs militants ont attaqué les clients d’un établissement vendredi 24 avril à Albi. Des plaintes ont été déposées, notamment contre un ancien candidat RN.
Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chelms-eddine Hafiz, et la présidente de la Coordination des associations musulmanes de Paris et rectrice de la mosquée Javel, Najat Benali, précisent avoir «exposé le sentiment croissant de colère et de peur qui habite de nombreux musulmans» en France.
Le ministre de l’Intérieur a annoncé ce mardi 29 avril devant l’Assemblée nationale engager une procédure contradictoire contre le mouvement d’extrême gauche.
Le patron des députés LR et candidat à la présidence du parti multiplie les attaques contre le gouvernement, mettant en jeu la participation de la droite au gouvernement en cas de hausses d’impôts.
L’animateur star du groupe Bolloré a balayé ce mardi 29 avril sur Europe 1 la rumeur qui l’annonçait candidat à la prochaine élection présidentielle après la publication la veille d’une une de «Valeurs actuelles».
L’ancien Premier ministre, à nouveau devant la justice ce mardi, avait été condamné en 2022 à rendre 700 000 euros à la chambre basse. Une somme dont il a déjà versé une partie.
Le ministre de la Justice a annoncé lundi 28 avril son intention de faire en partie peser sur les détenus la charge de leur séjour en prison. Un dispositif abandonné sous Chirac.
Nicolas Sarkozy ne perdra pas sa légion d’honneur malgré sa condamnation définitive à trois ans de prison. Une annonce «incompréhensible», pour l’avocat et ancien député Julien Bayou.
La condamnation de la candidate d’extrême droite rebat les cartes dans son camp et met au jour les divisions au sein du RN où les ennemis de Jordan Bardella sont tentés de pousser la candidature de Marion Maréchal.
Le groupe de transport aérien a annoncé la désignation de l’ancienne membre des gouvernements d’Edouard Philippe et de Jean Castex ce mardi 29 avril, pour une entrée en fonction le 4 juin.
En claquant la porte pour rallier Marine Le Pen, Eric Ciotti s’est aussi cassé avec les clés du QG niçois du parti. Qui a enfin trouvé un nouveau toit.
Le ministre de la Justice déterre l’idée déjà portée par l’extrême droite de faire « « « «contribuer» financièrement les détenus à leur propre incarcération. A la plus grande satisfaction du RN.
Le Premier ministre va consulter à partir de mercredi 30 avril les partis et les groupes parlementaires sur l’instauration de ce mode scrutin pour élire les députés. Un énième retour de cette idée, aussi régulièrement évoquée qu’abandonnée.
Définitivement coupable depuis 2024 dans l’affaire des emplois fictifs de son épouse Penelope, l’ancien Premier ministre revient ce mardi devant la justice pour qu’elle statue sur sa peine. Il avait été condamné à 4 ans de prison, 375 000 euros d’amende et 10 ans d’inéligibilité.
Le ministre de la Justice a annoncé ce lundi 28 avril son intention de modifier la loi, afin de financer le «fonctionnement de nos prisons» qu’il estime à «quasiment 4 milliards d’euros par an».
A la une de son édition de ce mercredi 30 avril, l’hebdomadaire d’extrême droite annonce détailler le programme de l’animateur, qui a indiqué n’avoir pas donné d’interview au magazine.