Le chercheur, souvent considéré comme le «parrain de l’intelligence artificiel», aurait annoncé à ses collaborateurs qu’il allait quitter le géant des réseaux sociaux pour lancer sa propre start-up, révèle ce mardi 11 novembre le «Financial Times».
Le tribunal de Munich a donné raison ce mardi 11 novembre à la société Gema, qui se bat pour que les œuvres humaines ne servent pas de matière première gratuite aux géants de l’IA et reprochait à l’entreprise américaine l’utilisation de paroles de chansons sans licence ni rémunération.