Cette nouvelle suspension intervient deux semaines après celle d’un premier animateur de la même école maternelle parisienne suspecté de son côté de «faits à caractères sexuels».
La Guinée-Equatoriale revendique toujours la possession d’un luxueux immeuble du XVIe arrondissement, malgré la condamnation du fils du président. La cour d’appel de Paris devrait se prononcer prochainement sur le dossier.
Une centaine de travailleurs ont manifesté mercredi 30 avril à l’appel du syndicat FO-INV. Ils réclament notamment un numerus clausus pour leur profession.