Alors que l’aide humanitaire est bloquée depuis deux mois, de plus en plus de voix critiquent durement Israël. Mais en l’absence de toute sanction, elles sont absolument inefficaces et, dans Gaza, la faim s’installe.
À la fin des années 2000, les Palestiniens décident de placer le droit international au centre de leur combat. Cette stratégie a conduit à ce que le premier ministre israélien soit sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale. Mais elle n’a aucunement stoppé ou ralenti la guerre.
La cour criminelle des Hauts-de-Seine a condamné Thomas P. à 18 mois de prison avec sursis et à l’interdiction définitive d’exercer, avec effet immédiat, pour avoir constaté les «infractions imaginaires» d’un adolescent. Il est inéligible pour dix ans.