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12.10.2025 à 13:42

Grünt me up baby avec deux jours de hip hop furieux, mais pas que, à la Grande Halle

L'Autre Quotidien

Depuis 4 ans, le Grünt Festival cherche a être la vitrine live de tout l’état d’esprit du Media Grünt. Comme le média, le festival Grünt se met au service des artistes et du public. Une programmation qui se veut défricheuse, reflet d’une exigence éditoriale, et qui cherche à mettre en avant une nouvelle génération d’artistes en leur offrant un espace d’expression digne des plus grands festivals, mais sans additionner les têtes d’affiches. Rendez-vous les 24 & 25/10
Texte intégral (1640 mots)

Depuis 4 ans, le Grünt Festival cherche a être la vitrine live de tout l’état d’esprit du Media Grünt. Comme le média, le festival Grünt se met au service des artistes et du public. Une programmation qui se veut défricheuse, reflet d’une exigence éditoriale, et qui cherche à mettre en avant une nouvelle génération d’artistes en leur offrant un espace d’expression digne des plus grands festivals, mais sans additionner les têtes d’affiches. Rendez-vous les 24 & 25/10

Pour cette 4e édition, le Grünt Festival prolonge ses engagements envers les artistes. Le Grünt festival c’est le festival des premières fois, où certains artistes vont défendre leur premier live sans hiérarchie de scène principale ou secondaire - tout le monde joue devant le même public en alterné. Mais le Grünt festival c’est aussi le festival de la fidélité, en prolongeant année après année une histoire collective qui s’écrit avec des artistes depuis plus d’une décennie, mais qui sont toujours représentés au line up du festival. 

Enfin le Grünt festival c’est celui du public, pensé pour lui et qui n’existe que grâce à lui, une communauté soudée qui permet de voir plus grand chaque année, et qui oblige aussi à penser une programmation à la hauteur des exigences.

Des premiers freestyles en appartement qui ont favorisé l'émergence de futures têtes d'affiches du rap francophone (Nekfeu, Alpha Wann, PLK, Georgio, Caballero et JeanJass...) il y a plus de dix ans à la troisième édition du Grünt Festival qui a accueilli plus de 15 000 personnes à Bobigny en 2024, en passant par les sessions live "Grünt d'or", les longs entretiens, les documentaires à Paris, Lagos ou Casablanca et le lancement de Grünt Radio en 2020, Grünt est un témoin majeur – et un acteur à part entière – de l’évolution du rap en français. Jamais nostalgique, Grünt a naturellement accompagné ces dernières années l’avènement de la nouvelle vague du rap francophone (dont de nombreux représentants ont grandi et appris avec les freestyles Grünt), donnant les clés de la maison à La Fève, Wallace Cleaver, Rounhaa, Luther ou NeS.

VENDREDI :
JeanJass, Zamdane, Mairo, H Jeunecrack, Ptite Soeur, Sherifflazone, Jungle Jack, Gen, Absolem, Kabbsky, Pasxlim, Akissi

SAMEDI :
Foufoune Palace ( Luidji, Tuerie ), Lesram, TH, Yvnnis, Asinine, Ino Casablanca, Jeune Morty, Arone, Ajna, Gal, Mandyspie, Douze Deluge, Toothpick, 32 x Encore une autre, Tisma.

-> En savoir plus en direct sur le site de Grünt, ici où vous trouverez une longue série d’artistes en fresstyle vidéo.

Ino Casablanca

Pour faire bonne mesure, on vous présente deux participants : Ino Casablanca et Ptite Sœur. Le premier avec un groove méditerranéen, le second plutôt hardcore - de manière inattendue.

« 2K25 je suis le rookie, j’ai à peine bougé le petit doigt ».
Une punchline qui dit tout : à peine lancé, Ino Casablanca a déjà su marquer les esprits. D’origine marocaine, né en Espagne et installé en France depuis l’âge de 12 ans, l’artiste complet — auteur, compositeur et producteur — s’impose comme une voix singulière.

Aujourd’hui, il passe à l’étape suivante. « Ino Casa qui l’arrête ? j’ai des nouveaux flows qui arrivent » lâche-t-il dans “Dima Rave”, premier extrait d’EXTASIA. Comme un signal de départ : Ino change de vitesse, explore d’autres terrains et ouvre sa musique à de nouvelles couleurs.

En 2013-2014, en France, Ino Casablanca découvre le rap et surtout la trap, sous-genre alors au sommet. Il écrit ses premiers textes dans l’ombre, bricole ses premières prods, teste sans se montrer. Les musiques nord-africaines de son enfance, il les laisse de côté un temps — avant d’y revenir plus tard, avec la distance nécessaire pour les réinventer. Dans le même temps, il garde un œil sur l’Espagne, où l’émergence de Rosalía ou C. Tangana confirme qu’on peut transformer des traditions locales en langage moderne et global. C’est cet esprit qu’il insuffle dans Tamara, premier projet qui marque aussi le début de sa collaboration avec le label LCS Recordz, fondé par Le Chroniqueur Sale (observateur sans concession de l’actualité rap et beatmaker). Son approche reste exigeante mais spontanée, refusant la démonstration gratuite. Cette singularité place aujourd’hui Ino Casablanca parmi cette génération d’artistes qui dessine la sono mondiale de demain.

EXTASIA concrétise cette vision en tissant des influences qui dialoguent entre elles. Intuitive et directe, son écriture capte la vraie vie, portée par un flow flegmatique qui dit tout sans hausser le ton. Si Ino compose ses morceaux, il s’est entouré pour ce projet d’OSO Mexico (guitare, basse) et Théo Baldy (claviers), venus rejouer certaines parties et donner une dimension plus organique à l’ensemble. Le raï s’y réinvente dans une esthétique synthétique et digitale (“Bissap du 20ème”, “Paramour”), tandis que les rythmiques caribéennes, latines et maghrébines, déjà présentes sur Tamara, trouvent ici de nouveaux prolongements (“Dima Rave”, “Flocage”, “Clubmaster”, “Blicky”, “Extaz”). Certains morceaux s’imposent comme des pivots : “Moula Solitude”, tube irrésistible de kompa moderne avec le rappeur marocain Draganov ; ou encore “Kitlé”, qui commence en ballade zouk avant de s’embraser dans un final de synthé flamboyant, en écho à cette même énergie kompa. Et pour rompre avec cette lumière festive, “Dima Rave Encore” ouvre une parenthèse plus sombre.

L’extase, pour Ino Casablanca, n’a rien d’ésotérique : elle peut surgir d’une simple fête improvisée sur un parking avec des amis et une sono généreuse. EXTASIA traduit cette quête d’instantanéité, cette envie de provoquer des vibrations pour atténuer son désenchantement, qu’il confesse sans détour.

Ino Casablanca - Extasia - LCS Recordz

Ptite Sœur, neophron & FEMTOGO - Pretty Dollcorpse - SFN

Là, attention, j’emploie peu ce vocable, mais ce truc change le game avec des artistes qui parlent de coming out et d’enfance battue pour envoyer un vrai truc fiévreux, abouti et véloce. Un fan ébloui le raconte ainsi : “C'est deep smr, c'est cru de zinzin mais c'est sincère. Soeur joue grv avec sa voix et ses flows, c'est frais. Femtogo rap tjr aussi bien, il chante pas mal aussi. Mais le vrai interêt du projet imo se trouve dans son propos. Les deux comparses se livrent beaucoup, nombreux sont ceux qui se reconnaitront dans les paroles de l'un comme de l'autre. Bref masterclass, le duo Ptite Soeur/ Femtogo fonctionne très bien pour pleins de raisons différentes.” Avec la prod de neophron, on circule de compo rock en guitares sèches, de beats secs en orgue soul qui emporte la mise. Si vous cherchez du hip hop qui parle au présent de la France de 2025, ne cherchez plus, c’est là. En vrai et en grand !

Jean-Pierre Simard, le 14/10/2025
Grünt Festival à la Grande Halle de la Villette 24 & 25/10
Ino Casablanca - Extasia - LCS Recordz
Ptite Sœur, neophron & FEMTOGO - SFN

12.10.2025 à 13:22

L’IA, fleur du mal, une drogue dure pour l'architecture ?

L'Autre Quotidien

Face au théâtre de grand guignol qu’est devenue la politique française, de penser qu’une intelligence artificielle (IA) apporterait peut-être un peu de raison dans un Maelström d’inconséquences qui laisse le pays stupéfait. Certes Vulcain ex-Jupiter* est le premier des inconséquents « en responsabilité » comme on dit en novlangue de la start-down nation mais, pour autant, n’est-ce pas confondre la cause et l’effet ?
Texte intégral (1599 mots)

Face au théâtre de grand guignol qu’est devenue la politique française, de penser qu’une intelligence artificielle (IA) apporterait peut-être un peu de raison dans un Maelström d’inconséquences qui laisse le pays stupéfait. Certes Vulcain ex-Jupiter* est le premier des inconséquents « en responsabilité » comme on dit en novlangue de la start-down nation mais, pour autant, n’est-ce pas confondre la cause et l’effet ?

En effet, chacun peut constater que l’avènement de l’intelligence artificielle correspond à l’explosion de la pagaille politique interplanétaire toujours plus autoritaire et au retour de l’inquisition. Ces évènements sont liés puisque les géants de l’IA utilisent des méthodes de narcotrafiquants, comme d’autres apôtres avant eux, pour conquérir la planète.

En effet, l’offre de paradis artificiel, ou paradis tout court, est d’abord toujours gratuite ou presque. C’est quand le consommateur est accro que les prix augmentent exponentiellement. Or l’intelligence artificielle n’est rien d’autre qu’un paradis artificiel destiné à nous faciliter la vie : de fait presque chacun désormais y trouve un usage sans trop se poser de questions. Toutes les excuses sont bonnes !

« Le bon sens nous dit que les choses de la terre n’existent que bien peu, et que la vraie réalité n’est que dans les rêves », relève Baudelaire (Les Paradis artificiels – 1860)

Certes nous savons que le coût énergétique de chaque requête de l’IA informatique est astronomique et nous comprenons que si l’IA peut être source de progrès scientifiques extraordinaires, elle n’est qu’une béquille utile aux médiocres qui font l’ordinaire de l’humanité. D’ailleurs, nombreux sont ceux qui se défendent et assurent s’en servir comme d’un « outil ». Mais, s’il faut admettre que l’IA est un traitement de texte ultra performant et un traducteur de plus en plus fiable, c’est surtout un fantasme de position augmentée. Pensez donc, bosser « bien »  et « vite » sans rien faire !

Nul doute, dès lors que l’humanité sera devenue accro, que les marchands sauront lui rappeler les règles du commerce. Ne l’est-elle pas, l’humanité, devenue dangereusement et irrémédiablement accro au téléphone portable et aux réseaux sociaux en une génération, au point qu’aujourd’hui en Afrique et ailleurs, les gens meurent de faim et/ou de guerre un téléphone à la main et un maillot de footballeur sur le dos ? L’accoutumance ne saurait tarder donc : à quand un pacs avec une Vanessa ou un Yanis (ou avec E.T.), une intelligence artificielle développée au goût de chacun/chacune à partir de ses traces numériques ? Quel sacrifice peut bien valoir à Narcisse un miroir à 360 degrés !

Et qu’importent les destructions de territoire et les humiliations de population, quand ce n’est pas la terreur. Les trafiquants en Amérique du Sud ne se soucient guère du sort des communautés qui produisent leur matière première, pas plus des destructions écologiques : ceux-là sont rarement des parangons de bienveillance. Qu’est-ce qui pourrait faire croire que les conquistadors de l’IA seront différents des marchands de canons ou d’outils de contrôle et de répression qui abondent déjà ? Parce qu’ils obéiraient à une loi quelconque autre que celle du dollar et du goupillon, pour un profit toujours croissant ?

Pour les scolaires, les profs, les étudiants, les industriels, les artisans, les journalistes, les chercheurs, les avocats, les ménagères de plus de 50 ans, pour chacun de 7 à 77 ans, à un prix cadeau, l’intelligence artificielle courtoise et attentionnée est pour tous le trajet le plus court pour n’avoir pas à réfléchir, confort suprême ! Toutefois, quand assez tôt plus personne ne saura y faire – c’est-à-dire réfléchir – il reviendra donc au privé de nous vendre l’intelligence, de nous la refourguer plutôt ! Jusqu’à la recette de cuisine ! Avec abonnement contraint ! Vous imaginez le désespoir du gamin à qui les parents sectaires refusent l’IA et qui se retrouve seul face à tous ses camarades artificiellement intelligents ? Il trouve refuge dans la lecture ?

L’IA affecte déjà notre vie de toute part. Ce qui nous ramène à l’architecture. Comment les agences vont-elles gérer ce nouvel « outil » dont maîtres d’ouvrage, industriels et majors de la construction intéressés vont s’emparer – s’emparent – à pleines dents ? Les plus experts des architectes sauront manipuler l’outil à leur profit, la profondeur historique de l’agence nourrissant alors une IA générative interne et en son nom propre. Efficacité garantie ! Cela signifie cependant sans doute pour ces entreprises d’architecture une nouvelle politique de ressources humaines.

De fait, les écoles d’architecture vont devoir s’adapter car, dans un avenir proche, la majorité des agences va se retrouver confrontée à des entreprises mandataires – souvenez-vous de la conception-réalisation – qui disposeront sans moult études savantes des mêmes outils perfectionnés que la maîtrise d’œuvre et qui pourront à leur guise, foin de droits d’auteur, à partir du même programme – une école, un EHPAD, un conservatoire, une salle de sport – pour séduire toujours mieux, ajouter toujours plus à leur intelligence générative un zeste artificiel de tel architecte connu et un autre zeste de tel autre et un zeste encore, etc. Pour un résultat tout à fait charmant et sidérant propre à convaincre. Les bureaux d’études ont aussi intérêt à être costauds : ce sera bientôt IA contre IA. Pour autant, sauf pour la science dans toute sa splendeur, l’intelligence artificielle est vouée au charabia – « plus vite et moins cher », air connu – et les architectes ne sont pas sûrs de gagner la bataille du sens. L’architecture, un sport de combat perdu d’avance ?

Considérant enfin que les marchands d’IA utilisent les mêmes méthodes que les marchands de semences devenus des multinationales plus puissantes que des États en ayant pris soin de vendre des graines stériles – c’est-à-dire l’exact opposé du vivant – une humanité à l’intelligence stérile, est-ce possible ?

Peut-être avez-vous entendu parler de ces nouveaux doudous qui, armés de l’IA bienveillante, font la conversation à junior pendant que papa et maman sont transfixés sur leur téléphone ? Si l’on en juge à l’heure d’écrire ces lignes (lundi 6 octobre 2025) par le spectacle affligeant de la gouvernance française non artificielle, reflet symbolique de l’absurdité et du cynisme ayant désormais cours dans le monde contemporain, il n’y a apparemment en guise d’alternative que l’IA.

Rendez-vous dans dix ou vingt ans avec la prochaine génération stérile à la naissance et accro aux psychotropes artificiels.

Parmi elle, des architectes peut-être…

Christophe Leray, le 14/10/2025

* À propos de Vulcain ex-Jupiter, lire notre édito Sonotone, livré par Amazon, à l’attention de l’Uber président

12.10.2025 à 13:04

June Crespo dévoile sa Rose Trraction à Ivry

L'Autre Quotidien

Le Crédac propose ROSE TRRACTION, première exposition personnelle de l’artiste basque June Crespo en France. L’exposition réunira majoritairement des œuvres produites pour l’occasion. Née à Pampelune en Espagne en 1982, formée à Leioa au sein du département des beaux-arts de l’université du Pays basque UPV/EHU, connue pour sa longue tradition d’enseignement de la sculpture. L’artiste vit et travaille aujourd’hui à Bilbao, Espagne.
Texte intégral (1392 mots)

Le Crédac propose ROSE TRRACTION, première exposition personnelle de l’artiste basque June Crespo en France. L’exposition réunira majoritairement des œuvres produites pour l’occasion. Née à Pampelune en Espagne en 1982, formée à Leioa au sein du département des beaux-arts de l’université du Pays basque UPV/EHU, connue pour sa longue tradition d’enseignement de la sculpture. L’artiste vit et travaille aujourd’hui à Bilbao, Espagne.

June Crespo et Maddi Barber, 2022. Vidéo couleur, 21 min © le Crédac — Photo : Marc Domage

Inscrit pour partie dans la tradition de la sculpture basque contemporaine, son travail s’appuie sur le frottement des matières et les possibilités expressives qu’il permet.

June Crespo développe une écriture singulière faite d’assemblages, de l’usage expérimental des images, de techniques de moulage et de matériaux industriels et organiques. Percevant intuitivement dans les objets du quotidien les associations libres de formes qu’ils permettent, l’artiste les débarrasse de leurs usages et de leurs significations pour n’en conserver que des parties, dont elle extrait les possibilités plastiques, et qu’elle réunit. Réduits à des fragments, des tubes, des carapaces qu’elle moule et assemble, ces éléments deviennent les différentes couches qui composent ses sculptures. Tendresse et gestes de douceur sont au cœur de ce processus dont elle conserve les traces et les imperfections. June Crespo met en dialogue les matériaux, joue des dissonances pour faire émerger sensibilité et poésie.

Vue de l’exposition « ROSE TRRACTION » de June Crespo. VASCULAR (3), 2024 ; Molar (II), 2025 ; Parentescos, 2025 Courtesy de l’artiste et des galeries CarrerasMugica, Bilbao et P420, Bologne © le Crédac — Photo : Marc Domage

Si le sens de son travail n’apparait qu’après coup, il résonne profondément, sans jamais le mentionner, avec l’exploration du corps. Fragmenté, recomposé, il est présent, implicitement, dans les éléments abstraits que l’artiste compose, les matières et les formes, leurs rigidités et leurs souplesses, les chutes et les élévations, leurs brutalités et leurs délicatesses. En travaillant sur l’organique et la technique, elle propose une œuvre à la fois vivante et inanimée où la matière converse avec le corps par le biais de formes anthropomorphes suggestives. Ce travail autour de la matérialité animée lui permet de mettre en avant des problématiques sociales et politiques contemporaines longtemps invisibilisées, comme le féminisme ou l’écologie.

Michel Diabolo, le 14/10/2025
June Crespo — Rose Trraction -> 14/12/2025

CREDAC Ivry - La Manufacture des œillets 1 Place Pierre Gosnat. 94200 Ivry s/ Seine

Commissariat : Claire Le Restif, directrice du Crédac — Centre d’art contemporain d’Ivry — Avec le soutien des galeries Galería CarrerasMugica, Bilbao ; P420 Gallery, Bologna ; Galería Ehrhardt Flórez, Madrid.

Vue de l’exposition « ROSE TRRACTION » de June Crespo. Traction 3, 2025 ; Traction 2, 2025 ; Traction 1, 2025 Courtesy de l’artiste et des galeries CarrerasMugica, Bilbao, P420, Bologne et Ehrhardt Flórez, Madrid. © le Crédac — Photo : Marc Domage

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