Alors que Washington et Damas resserrent leurs liens face à la menace djihadiste, l’attaque à Palmyre met en lumière les risques persistant pour les délégations internationales en Syrie.
Le préfet de Côte-d’Or a évoqué, en conférence de presse, de possibles « représailles par rapport à l’action de l’Etat » dans la lutte contre le trafic de drogue.
Bangkok a démenti la conclusion d’un cessez-le-feu mettant fin à plusieurs jours d’affrontements meurtriers, affirmée vendredi par le président américain, Donald Trump.