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▸ les 14 dernières parutions

24.10.2025 à 02:37

Cryptomonnaies : Donald Trump amnistie Changpeng Zhao, ex-patron de la plateforme Binance

FRANCE 24

Changpeng Zhao, ex-patron de la plateforme d'échange de cryptomonnaies Binance condamné en avril 2024 pour violation de la législation antiblanchiment aux États-Unis, a été amnistié par Donald Trump, a annoncé la Maison Blanche jeudi. Le président américain s'est mué en défenseur et promoteur du secteur des cryptomonnaies, après l'avoir critiqué durant des années.

23.10.2025 à 23:59

La Colombie accuse les États-Unis de commettre des "exécutions" en mer

FRANCE24

Dans le cadre de ce qui est présenté comme une opération de lutte contre le narcotrafic, Washington a revendiqué depuis début septembre neuf attaques ayant fait 37 morts. Mercredi, l'administration Trump a annoncé deux premières frappes dans le Pacifique. Au moins l'une d'elles s'est produite près des eaux colombiennes, selon une source militaire. La Maison Blanche et le Pentagone ont fourni peu de preuves pour étayer leurs affirmations selon lesquelles les personnes ciblées étaient impliquées dans le trafic de drogue. Dans "ce type de manœuvres, qui selon nous enfreignent le droit international, les États-Unis (...) commettent des exécutions extrajudiciaires", a déclaré le président de gauche lors d'une conférence de presse à Bogota, demandant à ce que les personnes suspectées de transporter de la drogue soient jugées et non tuées. "Il y a un usage disproportionné de la force qui est puni par le droit international humanitaire", a insisté M. Petro. Selon le président colombien, au cours de ces opérations, les États-Unis ont violé les eaux nationales et "tué" un pêcheur colombien. "La mer des Caraïbes est traversée par des navires de guerre, des aéronefs navals et des missiles (...) Un pêcheur de Santa Marta (nord) a même été tué sur son bateau", a-t-il réaffirmé jeudi. "Insulté" Donald Trump et Gustavo Petro multiplient les échanges musclés ces derniers jours. Le président américain Donald Trump a qualifié son homologue de "baron de la drogue" et de "voyou". L'élu de gauche a répondu en annonçant vouloir porter plainte pour diffamation devant la justice américaine. Le secrétaire d'État Marco Rubio a de son côté qualifié le dirigeant colombien de "fou". Le locataire de la Maison Blanche a invité Gustavo Petro à "faire attention, sinon nous prendrons des mesures très sérieuses contre lui et son pays." "Monsieur Trump m'a calomnié et a insulté la Colombie", a fustigé Gustavo Petro jeudi devant les médias internationaux. "Je ne pense pas que nous assistions actuellement à une désescalade de la part du leader déséquilibré de la Colombie", a rétorqué la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, en conférence de presse. Les États-Unis ont également retiré cette année la Colombie de la liste des pays alliés dans la lutte antidrogue et révoqué le visa de Gustavo Petro et de plusieurs fonctionnaires colombiens. Lorsque la certification antidrogue a été annulée, "cela nous a semblé très paradoxal et évidemment, nous l'avons reçu comme une insulte", a affirmé le chef de l'État colombien. Les États-Unis ont en outre annoncé la fin de l'aide financière au pays et des droits de douane punitifs à venir en représaille à la hausse de la production de cocaïne en Colombie. La Colombie est le premier producteur mondial de cocaïne, mais elle travaille depuis des décennies avec Washington pour en réduire la production, contrôlée par divers groupes paramilitaires, cartels et guérillas. "Ce qui est en jeu, c'est une relation historique vieille de plus de 200 ans, qui profite aux États-Unis comme à la Colombie", s'est alarmé mercredi l'ambassadeur colombien à Washington Daniel Garcia-Peña, dans un entretien à l'AFP, après avoir été rappelé à Bogota pour consultations. Il a jugé les déclarations du président américain "inacceptables".

23.10.2025 à 23:33

Ligue Europa: Lille perd un match fou face au PAOK (4-3)

FRANCE24

Ce revers ne compromet par les chances du Losc (onzième, six points) d'accéder aux huitièmes de finale de la C3, mais il stoppe le bel élan des deux premiers succès contre Brann Bergen (2-1) et à Rome (1-0), et rappelle à quel point le club nordiste est inconstant cette saison. La faute à une première période cauchemardesque, conclue sur le score de 3 à 0, où les Dogues ont été aux abois, pris dans l'engagement et punis par les Grecs, impressionnants de précision dans leur tentative. Dans ces 45 premières minutes, deux joueurs ont coulé: les défenseurs Tiago Santos et Nathan Ngoy, en cause dans les trois buts grecs inscrits par l'ancien lillois Souhaliho Meité (18e) à l'entrée de la surface, Andrija Zivkovic (23e) en contre et Giannis Konstantelias (42e). Ngoy et Santos ont d'ailleurs été remplacés par Bruno Genesio dès la mi-temps, supplées par Chancel Mbemba et Thomas Meunier. Un fait de jeu sera sans doute au coeur des commentaires d'après-match: juste avant le troisième but du PAOK, l'arbitre n'a pas accordé de pénalty aux Lillois quand Matias Fernandez-Pardo s'est écroulé dans la surface grecque, retenu par le maillot (42e), malgré l'intervention de la VAR. Cela a déclenché l'ire du président du Losc Olivier Létang, qui a s'est plaint en anglais auprès de l'arbitre à la mi-temps. "J'ai déjà écrit à M. Ceferin (président de l'UEFA, NDLR), ce qui s'est passé ce soir est incroyable", a déclaré Létang dans le couloir, des propos captés par les caméras du diffuseur Canal+. Hamza Igamane déchaîné Mais ce score ne présageait rien de la dramaturgie qui allait suivre. Par deux fois, les Lillois ont réduit le score après des corners, d'abord par Benjamin André (57e), qui, en bon capitaine, a montré la voie à suivre, puis par Hamza Igamane (68e). Le Stade Pierre-Mauroy, à peine rempli à moitié pour cette affiche, s'est alors mis à vrombir, voyant que le match avait tourné. Ce n'est pas une énième bourde lilloise, cette fois d'André, coupable d'avoir offert un pénalty d'une faute grossière, qui a su arrêter cet élan, puisque Berke Özer a détourné la tentative d'Andrija Zivkovic (71e). Le Turc a refait le coup de Rome, où il avait réussi l'exploit d'en arrêter trois consécutifs. Mais il n'a fait que retarder l'échéance de trois minutes, quand Zivkovic a cette fois inscrit le quatrième but grec (74e) après une nouvelle percée du PAOK dans la défense. Lille mis K.O. par le PAOK? Igamane ne l'entendait pas ainsi: le Marocain a encore réduit le score d'une reprise de volée superbe du pied gauche (78e), démontrant une nouvelle fois son sens inné pour les buts d'exception. Lille a poussé, obtenu plusieurs occasions pour égaliser par Chancel Mbemba (85e), encore Igamane (90e+1) et Matias Fernandez-Pardo (90e+6), jusqu'à croire au miracle quand Benjamin André a poussé le ballon au fond des filets au terme du temps additionnel, avant que son but ne soit refusé pour une position de hors-jeu. C'en était fini des chances lilloises dans cette rencontre folle de bout en bout, mais qu'ils auront abordée de la pire manière possible, se sabordant en une période. Il leur faudra rebondir dès dimanche (15h00) en Ligue 1 contre Metz.

23.10.2025 à 22:55

Cambriolage au Louvre : les bijoux en vente sur Vinted et sur l'eBay russe ?

Maya YATAGHENE

L’enquête continue après le cambriolage au Louvre du dimanche 19 octobre, chez les policiers mais aussi parmi les internautes. Ils affirment sur les réseaux sociaux avoir repéré les bijoux volés ... sur Vinted, ainsi que sur une plateforme de revente russe ! A chaque fois, des publications humoristiques : il s'agissait de canulars.

23.10.2025 à 22:43

Résultats d'entreprises et optimisme commercial soutiennent Wall Street

FRANCE24

Après une ouverture sans entrain, le Dow Jones a finalement gagné 0,31%, l'indice Nasdaq a pris 0,89% et l'indice élargi S&P 500 0,58%. Donald Trump va entamer à la fin de la semaine une importante tournée en Asie, qui sera marquée par une rencontre très attendue avec son homologue chinois Xi Jinping, aux enjeux majeurs pour l'économie mondiale. Pour Christopher Low, de FHN Financial, il s'agit sans conteste de "la nouvelle la plus importante du jour". "Cela ne sera peut-être pas productif, mais nous pouvons l'espérer, et une rencontre vaut mieux que pas de rencontre du tout", a commenté l'analyste auprès de l'AFP. Le président américain avait laissé planer un doute sur la tenue de cette rencontre sur fond de tensions commerciales, tout en assurant s'attendre à conclure un "bon" accord entre les deux premières économies de la planète. "Au-delà de cela, les résultats financiers de ce trimestre ont été plutôt solides, pas pour tout le monde, mais un pourcentage plus élevé que d'habitude d'entreprises ont dépassé les attentes", a relevé Christopher Low. Les grandes banques américaines ont ainsi profité des larges commissions engrangées dans la gestion d'actifs et la banque d'affaires, tandis que les industriels de la défense ont bénéficié d'une forte demande, en raison des tensions géopolitiques. Il reste encore à connaître les performances de plusieurs géants de la tech, qui pèsent lourd sur les indices de la place américaine, ainsi que celles des distributeurs, susceptibles de donner un nouvel aperçu de l'état de santé des consommateurs. "L'autre sujet dont tout le monde parle est le rapport du CPI (sur l'inflation, ndlr) qui sera publié vendredi", a souligné Christopher Low. Cette publication "est toujours importante, mais elle l'est encore plus cette fois-ci, car il n'y a pas d'autres données" gouvernementales disponibles sur l'économie américaine en raison de la paralysie budgétaire qui touche le pays, a ajouté l'analyste. Une inflation plus forte qu'attendu pourrait réduire les perspectives d'assouplissement monétaire de la Réserve fédérale (Fed). Les spécialistes sont jusqu'à présent pratiquement unanimes: la banque centrale américaine devrait encore réduire ses taux d'un demi-point d'ici la fin de l'année, avec une première baisse dès la réunion de politique monétaire prévue la semaine prochaine. Sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l’État américain retrouvait le seuil de 4%. Côté entreprises, l'action du spécialiste des véhicules électriques Tesla a pris 2,28% à 448,98 dollars. En début de journée, le groupe du milliardaire Elon Musk avait été plombé par la chute de son bénéfice net au troisième trimestre (-37%), en raison d'une hausse des dépenses opérationnelles et par les droits de douane. Le groupe pétrochimique américain Dow (+12,95% à 24,51 dollars) a profité de l'annonce d'un bénéfice net de 62 millions de dollars au 3T, après trois trimestres de perte. Les marchés s'attendaient à une nouvelle perte, cette fois de 269 millions de dollars. Le spécialiste des serveurs et des infrastructures d'informatique à distance Super Micro Computer (-8,72% à 47,92 dollars) a souffert d'un abaissement de ses prévisions pour le premier trimestre de son exercice décalé. L'entreprise s'attend à réaliser un chiffre d'affaires d'environ 5 milliards de dollars alors qu'elle tablaient auparavant sur plus de 6 milliards.

23.10.2025 à 22:36

Présidentielle en Côte d’Ivoire : édition spéciale du Journal de l’Afrique en direct d'Abidjan

Meriem AMELLAL

À deux jours de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, France 24 vous propose une édition spéciale du Journal de l’Afrique délocalisée à Abidjan, la capitale économique du pays. Emploi, santé, éducation et sécurité…. Meriem Amellal et ses invités font le point sur les grands défis qui attendent le prochain président.

23.10.2025 à 22:21

Présidentielle en Côte d’Ivoire : qui est le meilleur candidat ? Parole de militants

David RICH

Au dernier jour de campagne, les cinq candidats à la présidentielle ivoirienne ont tenu leurs meetings de clôture. Une dernière chance pour leurs militants de faire la promotion de leurs champions avant le silence électoral.

23.10.2025 à 22:19

Présidentielle en Côte d'Ivoire : un accès aux soins encore difficile

FRANCE24

Dans la maison de santé de l'ONG Adorade, à Abidjan, on soigne gratuitement les enfants défavorisés souvent issus des zones rurales. À deux jours du premier tour de l'élection présidentielle ivoirienne, l'accès au soin reste un enjeu majeur, comme l'explique la présidente de l'ONG Isabelle Koffi.

23.10.2025 à 22:15

Trump sévit, Poutine sous pression ?

Stéphanie ANTOINE

Donald Trump a décidé d’imposer des sanctions sur deux grosses compagnies pétrolières russes, Loukoil et Rosneft. C’est une première depuis son arrivée à la Maison Blanche en janvier. Une décision prise deux jours après le report puis l'annulation par Trump du sommet de Budapest entre le président américain et Vladimir Poutine, et le jour de la visite du secrétaire général de l’OTAN Mark Rutte. Les sanctions contre la Russie décidées par les États-Unis envoient un "message fort" à la Russie pour qu'elle mette fin à la guerre, a affirmé Volodymyr Zelensky. Pourquoi Trump a-t-il une nouvelle fois changé d’avis ? Quel impact sur l'économie russe ?

23.10.2025 à 22:09

Présidentielle en Côte d'Ivoire : quels sont les enjeux sécuritaires ?

FRANCE24

En Côte d'Ivoire, le vol de bétail est devenu l'une des principales sources de revenus pour les groupes armés qui multiplient les incursions dans le nord de la Côte d'Ivoire. Pour tenter de décourager cette criminalité, l'Etat a alloué un budget de 33 milliards de francs CFA pour favoriser l'insertion professionnelle de près de 70 000 jeunes dans les six régions du nord du pays.

23.10.2025 à 21:52

Dernier jour de campagne en Côte d'Ivoire, entre effervescence et inquiétudes

FRANCE24

8,7 millions d'Ivoiriens sont appelés aux urnes samedi 25 octobre pour le premier tour de l'élection présidentielle en Côte d'Ivoire. De la commune d'Abobo à Bouaké, deuxième ville du pays, les derniers meetings des cinq candidats ont donné la température sur le scrutin.

23.10.2025 à 21:46

Utiliser les avoirs russes gelés, sanctions américaines : l'étau se resserre sur Poutine ?

Anthony SAINT-LÉGER

Financer le coût de la guerre en Ukraine à l'aide des avoirs gelés de la Russie. Le sujet agite les 27 et est au coeur du sommet européen de Bruxelles. Et ce, alors que les Etats-Unis ont décidé de sanctionner deux grandes compagnies pétrolières russes.  Et aussi, la fête nationale en Hongrie aux allures de test pour Viktor Orban à 6 mois des législatives. Ses partisans comme ses opposants se sont rassemblés dans les rues de Budapest. On va plus loin avec Marc Semo et Gauthier Rybinski. 

23.10.2025 à 21:37

New York se mobilise contre Trump et sa police de l'immigration

FRANCE24

En temps normal, ces policiers -- au visage caché par des masques et des casquettes -- sont surtout présents dans les couloirs du 26 Federal Plaza, à Manhattan, cour de justice où sont entendus les immigrants tentant de régulariser leur situation. Mardi, c'est à Canal Street, dans le quartier chinois tout proche, qu'ils sont apparus, arrêtant neuf Africains soupçonnés d'être en situation irrégulière puis les plaçant en détention, lors d'une opération "axée sur des activités criminelles liées à la vente de contrefaçons", selon un communiqué du ministère de la Sécurité intérieure. Quatre personnes ayant tenté d'empêcher ces arrestations ont aussi été appréhendées, puis libérées sans être poursuivies. Le directeur de la police fédérale de l'immigration (ICE), Todd Lyons, a annoncé dans la foulée que New York allait voir "augmenter les arrestations" car la ville, dite "sanctuaire", protège les migrants en situation irrégulière. M. Lyons a ajouté que ces interventions ne sont pas "aléatoires" mais "fondées sur du renseignement criminel". "Quitter la ville" L'événement a fait descendre dans la rue quelques dizaines de New-Yorkais mardi soir, des centaines mercredi soir. Parmi eux, Lorelei Crean, 18 ans, s'est inquiété auprès de l'AFP que la police de l'immigration ait "pris le contrôle de tout le pays". "Maintenant, ça arrive à New York et New York montre qu'ICE doit quitter la ville". Des représentants politiques et religieux sont eux aussi montés au créneau lors d'une conférence de presse, jeudi, autour de la présidente du conseil municipal, Adrienne Adams. "Nous sommes réunis pour envoyer à l'unisson un message clair à l'administration Trump: ne touchez pas à New York. Cessez de menacer notre sécurité publique et notre économie", a lancé cette dernière. Depuis le retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, les militaires réservistes de la Garde nationale ont été déployés dans plusieurs grandes villes démocrates (Portland, Chicago, Washington, Memphis et Los Angeles) et "New York ne veut pas et n'a pas besoin d'une occupation militaire ou fédérale", a martelé Adrienne Adams. Fervente opposante au président, la procureure générale de l'Etat, Letitia James, a pour sa part lancé un formulaire en ligne destiné à recueillir des informations, photos et vidéos sur les activités de la police de l'immigration dans la ville. "Déclarer la guerre" Le sujet a aussi fait l'ouverture, dans la soirée de mercredi, du dernier débat entre les candidats à l'élection municipale du 4 novembre. Tous trois sont opposés à l'intervention de la police fédérale dans leur ville, le favori démocrate Zohran Mamdani allant jusqu'à qualifier ICE d'"entité irresponsable qui se soucie peu de la loi et encore moins des personnes qu'elle est censée servir". M. Mamdani, qui estime que Donald Trump "cherche à déclarer la guerre" aux New-Yorkais, et ses adversaires Andrew Cuomo (démocrate concourant sous l'étiquette d'indépendant) et Curtis Sliwa (républicain) ont rapidement amené la conversation sur leur relation avec le président s'ils étaient élus. Le premier ne se dit prêt à discuter que sur la question du coût de la vie. Le second, qui était gouverneur de l'Etat de New York pendant le premier mandat du président, affirme qu'il faut "l'affronter". Le troisième voit la "négociation" comme seule issue. Pour l'heure, la première option est la plus probable: les derniers sondages donnent à Zohran Mamdani une avance de plus de 10 points sur Andrew Cuomo.

23.10.2025 à 21:25

Présidentielle en Côte d’Ivoire : les partisans défendent leur choix

FRANCE24

À quelques jours de la présidentielle prévue le 25 octobre en Côte d’Ivoire, les partisans des différents candidats défendent avec ferveur leurs choix. Entre appel à la réconciliation, promesse de changement et bilan du pouvoir sortant, chacun affirme sa vision pour l’avenir du pays.
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