Nabil Touati s'intéresse aux prises de paroles de François Bayrou sur l'affaire Bétharram

Rachida Dati la tornade : la ministre de la Culture fait scandale à l’Assemblée. Après une altercation avec une haute fonctionnaire du Palais Bourbon, Rachida Dati met en péril sa propre réforme de l’audiovisuel.

Jordan Bardella, présenté à tort ou à raison comme le plan B du RN, va devoir lui-aussi répondre à des accusations de détournement de fonds publics et recel, faux et usage ainsi qu'escroquerie.

Lors de cette interview, Valérie dénonce les pratiques d’organismes de formation qui, en partenariat avec des fonds publics, ont arnaqué 26 chômeurs en leur proposant des formations fictives ou surévaluées.

Sophia Aram et Arthur ont reçu un prix pour leur engagement contre le racisme et l’antisémitisme des mains d’Emmanuel Macron.

Francesco Sebregondi, fondateur d'Index, revient sur la contre-enquête menée par son ONG sur l'incident de la Bastille, où Jérôme Rodriguez a perdu un œil. En utilisant des technologies avancées, Index remet en question la version policière.

“Quand le bateau prend l’eau, les rats quittent le navire”, dit le dicton populaire. C’est ainsi que de nombreux observateurs ont compris la démission d’Alexis Köhler, jusque là inamovible secrétaire général de l’Élysée...

Condamnée à cinq ans d’inéligibilité pour détournement de fonds publics, Marine Le Pen refuse de se laisser écarter et se lance dans une bataille judiciaire et politique.

Une série particulière de « Flop » a été décochée en direction du traitement médiatique de la condamnation de Marine Le Pen.

Invité de la Contre Matinale, Olivier Besancenot (NPA) a abordé trois thèmes majeurs : la condamnation de Marine Le Pen, l’union de la gauche et la remise en cause de la Ve République.

Marine Le Pen a été condamnée lundi à quatre ans de prison, dont deux fermes sous bracelet électronique, 100.000 euros d’amende, mais surtout, la cheffe de file du Rassemblement National écope de 5ans d’inéligibilité avec exécution immédiate

Le Ramadan est fini, mais l’islamophobie ne prend jamais de pause.

Alors que les tensions entre la France et l’Algérie persistent, que le conflit Israël-Gaza ravive des débats sur la violence et la résistance, la pensée de Fanon résonne avec une force particulière.Et justement, un film sort ce 2 avril.