Selon une enquête explosive publiée par Mediapart, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, un cercle ultra-conservateur, proche de l’Opus Dei et du Vatican, aurait exercé une influence directe sur les choix politiques de l’État français.
Un an après avoir utilisé la dissolution surprise de l’Assemblée nationale en juin 2024, Emmanuel Macron dispose à nouveau de ce « bouton rouge », mais semble hésiter à s’en servir.