L’article a été adopté avec les voix du bloc central et du Rassemblement national, contre celles de la gauche.

Téhéran a jusqu’à présent affirmé que le couple, détenu depuis plus de trois ans, était accusé d’espionnage, mais sans jamais préciser pour quel pays.

Cette exigence de la direction générale de l’aviation civile est plus élevée que celle de jeudi, premier jour de mouvement social, quand un quart des vols seront supprimés dans les aéroports parisiens.