Le ministère public a requis des peines comprises entre dix-huit mois et huit ans de prison contre les prévenus, assorties de lourdes amendes, notamment contre la société Lafarge. Le parquet a réservé ses mots les plus durs à l’ancien PDG, accusé de se défausser sur ses collaborateurs.
La Commission a présenté, mardi, un paquet de mesures destinées à aider un secteur en crise. Elle allège notamment les exigences du règlement sur la décarbonation des voitures, un texte emblématique du pacte vert.
Une semaine après avoir voté de justesse le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026, les parlementaires se sont prononcés en faveur du texte par 247 voix contre 232. Déjà, les esprits se tournent vers le budget de l’Etat, dont l’issue se révèle bien plus complexe.
A l’issue d’une réunion de crise à Matignon, Annie Genevard a assuré que les troupeaux des 1 000 exploitations de l’Ariège seront intégralement vaccinés d’ici à la fin de l’année.
Jusqu’à présent, ce haut fonctionnaire a été globalement épargné par la polémique qui éclabousse sa successeure, Laurence des Cars, depuis le cambriolage du 19 octobre.
Le président Trump a confirmé son intention de poursuivre l’institution centenaire pour diffamation et lui réclame 10 milliards de dollars de dommages et intérêts. De quoi embarrasser le cabinet travailliste, qui cherche à éviter tout sujet de brouille avec le président américain.
Le parquet requiert le renvoi de l’ancien chef de l’Etat pour « association de malfaiteurs en vue de commettre une escroquerie en bande organisée » et « recel de subornation de témoin ».
Deux ans après que Gabriel Attal a promis de « passer de 14 réglementations » sur les haies à une seule, le gouvernement a soumis à consultation publique un projet de décret créant un régime de déclaration unique pour leur arrachage. Les associations de protection de la nature en redoutent les effets pervers.
« A table ! ». C’est lors du repas du soir que l’on se raconte les petits et grands événements de la journée. Un moment qui en dit long sur la vie de famille. Sur la table, un festin syrien. Autour, trois jeunes qui se chamaillent discrètement, et des parents qui parlent pudiquement de la guerre en Syrie et de leur adaptation à leur vie en France.
L’université de Roskilde s’est retrouvée au centre d’une polémique en raison de ses programmes, accusés par l’extrême droite et la première ministre sociale-démocrate, Mette Frederiksen, d’être une voie détournée d’immigration pour des étudiants étrangers.