« Sous sa forme actuelle, la proposition ne remplit pas les conditions minimales pour un résultat crédible à cette COP », ont écrit, jeudi, ces Etats dans une lettre à la présidence de la conférence pour le climat, à la veille de la fin du sommet.
Trente-quatre concessions devraient être ouvertes dans les eaux du golfe du Mexique, au large de la Californie et le long de la côte nord de l’Alaska, rendant accessible à l’industrie pétrolière et gazière américaine une zone de plus de 500 millions d’hectares.
Plus de 100 personnes tirées au sort devront délibérer sur l’agriculture et le climat en 2026. En parallèle, des assemblées se tiennent dans de nombreux pays pour faire accepter et avancer la transition écologique.
Lors de la COP19, en 2013, celui qui était alors négociateur pour les Philippines avait bouleversé le monde par un discours empreint d’émotion. Présent à la COP30 au Brésil, il poursuit son combat pour la justice climatique.
Afin d’éviter un blocage, le premier ministre australien, Anthony Albanese, qui avait rejeté lundi une offre de co-organisation, affirme que son pays « ne chercher[a] pas à opposer [son] veto » si le choix se porte sur Ankara.
Alors que l’essentiel de la facture climatique repose aujourd’hui sur les contribuables et les budgets publics, une quinzaine de chercheurs en droit proposent, dans une tribune au « Monde », un dispositif pour redistribuer la charge en la faisant peser principalement sur les grandes entreprises productrices de pétrole, gaz et charbon.
Les bénéfices des produits bio pour la biodiversité et la santé sont démontrés. Pour que leur impact sur le climat soit lui aussi positif, il faut tout de même changer notre régime alimentaire.
« Le Monde » lance, lundi, un nouveau service gratuit, interactif et géolocalisé, articulant prévisions météorologiques et données historiques climatiques. Une autre manière de mesurer les conséquences de la crise environnementale.
Une étude conduite par l’association Bloom, avec The Shift Project, évalue les émissions de gaz à effet de serre du secteur de la pêche maritime à 0,2 % du total de l’empreinte carbone de la France.