Dans un communiqué, l’armée a annoncé avoir « frappé un site militaire, des canons antiaériens et des infrastructures de missiles sol-air en Syrie », sans plus de détail.
Le texte, un premier jet qui devra suivre un long et difficile parcours parlementaire, prévoit des coupes de 22 % dans les dépenses non militaires de l’Etat, soit 163 milliards de dollars.