Dans les heures qui ont suivi la mort du militant ultraconservateur américain, des représentants des extrêmes droites européennes ont repris à l’unisson le discours du monde MAGA, faisant de cet Américain jusqu’ici peu connu sur le Vieux Continent le « martyr » d’une cause commune.
Dans un climat d’impunité persistante depuis la chute de Bachar Al-Assad en décembre 2024, la fragile paix promise par le président de transition, Ahmed Al-Charaa, peine à contenir un désir de revanche tenace, que des groupes djihadistes exploitent pour renforcer leur influence.