Si elle n’a pas fait cesser les combats, la séquence diplomatique ouverte par la rencontre Trump-Poutine a créé quelques ouvertures, qui restent encore à confirmer, analyse Tatiana Kastouéva-Jean, spécialiste de la Russie, dans une tribune au « Monde ».
Les dirigeants européens, réunis lundi à la Maison Blanche autour de Donald Trump et de Volodymyr Zelensky, sont repartis avec de vagues promesses de soutien américain mais sans aucune garantie de succès dans la résolution du conflit russo-ukrainien.
Les ex-locataires de la Maison Blanche s’expriment peu depuis le retour au pouvoir du républicain. Une discrétion qui traduit une interrogation : « A quel point un ancien président américain peut-il avoir un impact à l’ère Trump ? », souligne l’historien Mark Updegrove dans un entretien au « Monde ».
Devant l’utilisation de plus en plus fréquente d’outils d’analyse vocale dans les entreprises, le président de la CFE-CGC Orange s’inquiète, dans une tribune au « Monde », du placement du travail « sous surveillance émotionnelle ».
Maître de conférences en droit public, Caroline Lequesne a fait partie du comité d’évaluation qui a suivi l’expérimentation de la vidéosurveillance algorithmique dans le cadre des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.
Le recours à l’intelligence artificielle (IA) par les ministères pour créer des vidéos commémoratives peut aboutir à des résultats plus que douteux, constate l’historien Frédéric Clavert, dans une tribune au « Monde ».
L’emploi subit de la violence, par des groupes de provocateurs, face au mouvement de protestation des étudiants serbes qui dure depuis neuf mois, est de mauvais augure pour l’ambition du président Aleksandar Vucic de rejoindre l’Union européenne.
L’économiste Maxime Menuet relève, dans une tribune au « Monde », la dimension morale et religieuse du mot « dette », qui renvoie à une notion de culpabilité, tandis que l’« austérité » porte une vision rédemptrice, dans les discours politiques.
« Lettres d’Amérique » (1/6). L’écrivain et journaliste Thomas Chatterton Williams s’alarme de l’omniprésence de l’intelligence artificielle à l’université, qui met, selon lui, en péril des fondements mêmes de l’éducation et notre capacité à réfléchir.