Condamné et incarcéré lorsque l’ancien président était à l’Elysée, Noa Khamallah, devenu entrepreneur, souligne, dans une tribune au « Monde », que la justice ne peut pas avoir deux visages.
Certains élus n’hésitent plus à montrer leur musculature, pour séduire l’électorat autant que pour installer une comparaison physique avec leurs adversaires. Une rupture dans la tradition démocratique française, portée sur l’esprit davantage que sur le corps.