Dans une tribune au « Monde », les magistrats Audrey Bailleul et Ludovic Friat s’inquiètent de constater que « le trafic international de stupéfiants se régénère sans cesse ». Ils appellent à la mise en place de réponses fermes, mais adaptées aux principes de l’Etat de droit.
La comparaison entre les groupes de narcotrafiquants français et les organisations criminelles italiennes fait florès. Mais les spécialistes notent plusieurs différences dans leurs logiques, même si l’implantation territoriale les préoccupe de plus en plus.