Plus d’une dizaine d’organisations ont demandé la suspension de l’accord « One in, one out », qui prévoit un échange de migrants entre Paris et Londres pour dissuader les tentatives de traversée de la Manche.
Les parents de l’enfant ont parlé à la police de « moqueries infligées à leur fille au sujet de sa corpulence par deux ou trois camarades d’école de sa classe de CM2 », a souligné le procureur de la République de Sarreguemines, où se trouve le domicile de l’enfant.
Vingt-trois ans après le drame, de nouvelles analyses et un appel national pourraient enfin lever le voile sur le meurtre non élucidé d’Ariane Guillot à Nice.