En l’absence d’accord sur le budget au Sénat, l’administration américaine est bloquée depuis le 1ᵉʳ octobre. Plus de 600 000 employés fédéraux ont été placés au chômage partiel et les agents pourraient se voir privés d’une partie de leur salaire.
L’annonce survient peu après la signature par Donald Trump d’un décret promettant de défendre cet Etat du Golfe contre des attaques, dans le sillage des frappes aériennes israéliennes qui ont visé le chef du Hamas à Doha.
Fort de ses réseaux d’influence, où se mêlent géopolitique et intérêts privés, le gendre de Donald Trump, Jared Kushner, a obtenu le feu vert des autorités albanaises pour édifier un complexe touristique haut de gamme sur cette île de Méditerranée à la végétation luxuriante et aux eaux turquoise.
Devant le Conseil de sécurité de l’organisation, le pays a reçu un soutien mitigé alors qu’il dénonce une « escalade des agressions » des Etats-Unis et le déploiement de navires de guerre dans les Caraïbes
Après l’annonce par Pékin d’un contrôle des produits faits à l’étranger mais contenant des terres rares chinoises, Donald Trump a menacé d’imposer des taxes supplémentaires de 100 % dès le 1ᵉʳ novembre.
Au risque de perdre d’importants financements fédéraux, la présidente du prestigieux Massachusetts Institute of Technology a refusé de céder à la pression du gouvernement et a choisi de défendre l’indépendance de son institution.
Alors que la crise budgétaire s’enlise, des milliers d’employés fédéraux ont été congédiés par l’administration américaine qui a visé « ceux proches de démocrates ».
Le président américain riposte à la décision de Pékin d’instaurer de nouveaux contrôles sur l’exportation des technologies liées à l’extraction et la production des terres rares.
Dans une tribune au « Monde », le chercheur Hugo Toudic revient sur l’audition au Sénat de la ministre de la justice américaine, Pam Bondi. La violence de ses propos, et plus largement celle du camp républicain, marque, selon lui, un véritable moment de bascule politique et signe la « reddition morale d’un parti qui a substitué la peur et la loyauté personnelle au sens de l’institution ».
Après le retour au pouvoir des talibans, en août 2021, le petit Etat des Balkans avait accueilli des centaines d’Afghans en fuite, à la demande de Joe Biden. Mais l’administration Trump a mis en pause l’octroi de visa et les familles de réfugiés sont immobilisées sur la côte albanaise, au milieu des touristes…
Ces navires arrivant en Chine devront s’acquitter d’un montant de 400 yuans (48 euros) par tonne nette. Cette mesure entrera en vigueur mardi 14 octobre, le même jour que celle, similaire, qui a été décidée par les autorités américaines en avril.