Le texte voté mardi au Congrès donne un mois au ministère de la justice pour divulguer les documents sur le criminel sexuel mort en prison. Après s’y être longtemps opposé, le président avait fait volte-face dimanche.
Donald Trump s’était ému des « atrocités » commises dans le troisième plus grand pays d’Afrique après que Mohammed Ben Salman lui a demandé de s’impliquer pour mettre fin au conflit.
Dans une tribune au « Monde », la chercheuse s’inquiète de l’adoption par référendum, le 4 novembre, de la réforme de la carte électorale californienne, favorable aux démocrates. Elle rappelle que « l’Etat de droit implique que le pouvoir public se soumette aux règles qu’il édicte ».