Les faits, atroces, et qui seront jugés à partir de ce vendredi 17 octobre, peuvent incliner à vouloir infliger à son tour la barbarie, ce qu’empêche l’abolition de la peine de mort. Et c’est salutaire.
La proposition de loi relative à l’aide à mourir adoptée en mai 2025 par l’Assemblée nationale n’honore pas notre conception commune de l’humanité, de la dignité et de la démocratie, estime Emmanuel Hirsch, professeur émérite d’éthique médicale à l’université Paris-Saclay.
La déclaration de politique générale du Premier ministre laisse entrevoir – mais pour combien de temps ? – un début de renoncement à la logique du tout ou rien si typique de notre système politique.