Les services de renseignement du département de la Défense sont bien moins optimistes que le président Trump sur l’impact des bombardements américains sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan en juin.
La collaboration avec l’agence onusienne, qui vise à limiter le développement du nucléaire militaire, avait pris récemment un tournant chaotique, son directeur dénonçant les «menaces» dont fait l’objet son organisation.