Fidèle du président qui a réussi à ne pas se couper de Gabriel Attal, il s’est montré fin manœuvrier jusqu’à se faire une place dans le gouvernement Lecornu II, nommé dimanche 12 octobre.
Les deux tendances du parti de droite, l’une prônant la participation, l’autre une prise de distance avec le macronisme, semblent au bord de l’affrontement.
Le Premier ministre a composé ce dimanche soir dans l’urgence un exécutif qui risque de ne durer que quelques jours mais qui aura au moins déposé un projet de budget au Parlement.