Désabusé par le comportement du Président, le chef de file des députés socialistes répète vouloir attendre la déclaration de politique générale pour décider si son groupe censurera ou non le futur gouvernement.
Se référer au départ du général, c’est défendre une vision plébiscitaire de nos institutions. Une présidentielle anticipée avec sa procédure qui favorise l’affrontement sur le compromis et sa logique de sauveur est un fantasme dévastateur.