La composition de l’Assemblée nationale demeure inchangée après les élections dans ces circonscriptions : les deux nouveaux élus étaient respectivement suppléants de leurs prédécesseurs.
L’équipe de 34 ministres annoncée dimanche 12 octobre tard dans la soirée, qui mêle politiques et société civile, suscite chez les oppositions des réactions similaires à la reconduction de Sébastien Lecornu : dépit et colère.
Avec une équipe de 34 ministres, dont la moitié renouvelée par rapport à celle de François Bayrou, annoncée tard dimanche 12 octobre, le Premier ministre espère éviter une rapide motion de censure.
Parmi les 34 personnalités nommées ce dimanche soir dans le nouveau gouvernement figurent des ministres reconduits, mais aussi des profils neufs venus de la société civile.
Fidèle du président qui a réussi à ne pas se couper de Gabriel Attal, il s’est montré fin manœuvrier jusqu’à se faire une place dans le gouvernement Lecornu II, nommé dimanche 12 octobre.
Les deux tendances du parti de droite, l’une prônant la participation, l’autre une prise de distance avec le macronisme, semblent au bord de l’affrontement.
Le Premier ministre a composé ce dimanche soir dans l’urgence un exécutif qui risque de ne durer que quelques jours mais qui aura au moins déposé un projet de budget au Parlement.
L’ex-présidente de l’ONG WWF France et envoyée spéciale de l’Elysée sur le climat prend le relais d’Agnès Pannier-Runacher dans un ministère à la peine. Elle devra accélérer le rythme de la décarbonation de la France, qui s’essouffle dangereusement depuis trois ans.
Le gouvernement Lecornu I n’ayant duré que quatorze heures, le Lecornu II a été annoncé une semaine plus tard. Découvrez le profil de ses principaux membres.
Le patron de la compagnie ferroviaire, sur le départ, fait une arrivée inattendue au sein du nouveau gouvernement. Au ministère du Travail et des Solidarités, il sera chargé notamment des débats sur la réforme des retraites et de l’assurance chômage. Deux dossiers épineux.
Désabusé par le comportement du Président, le chef de file des députés socialistes répète vouloir attendre la déclaration de politique générale pour décider si son groupe censurera ou non le futur gouvernement.
Se référer au départ du général, c’est défendre une vision plébiscitaire de nos institutions. Une présidentielle anticipée avec sa procédure qui favorise l’affrontement sur le compromis et sa logique de sauveur est un fantasme dévastateur.
Emmanuel Macron a beau s’envoler pour l’Egypte «a priori» ce dimanche 12 octobre au soir afin d’assister au sommet pour la paix à Gaza lundi, trois étapes cruciales se profilent pour le Premier ministre.
Les électeurs camerounais votent ce dimanche 12 octobre pour l’élection présidentielle. Après quarante-trois ans au pouvoir et malgré un mauvais bilan, Paul Biya reste le favori.
L’accord politique signé cet été ne fait plus consensus et le chaos politique hexagonal a rendu incertain le report des élections locales calédoniennes.