Dirigé par les non-indépendantistes, le gouvernement calédonien pratique une politique de l’offre pour relancer l’activité sur l’archipel, toujours plombée par les émeutes de mai 2024. Une méthode taxée d’opportuniste par des syndicats, face à un modèle à bout de souffle.
Vanté par le gouvernement comme un bon levier pour dynamiser les chefs-lieux de canton de moins de 20 000 habitants, le dispositif pâtit de trop maigres budgets.
La petite ville s’est lancée il y a cinq ans, avec des acteurs associatifs, dans une opération d’amélioration de l’habitat et de renouvellement urbain afin de regagner en attractivité, après une longue érosion démographique.
Le président de la République et le ministre des Outre-Mer vont tenter, à compter de ce 2 juillet, de concilier les aspirations indépendantistes et loyalistes, afin de permettre à l’archipel de se reconstruire après les émeutes de 2024.
Co-chef de file pour les municipales dans cette ville historique du PCF, Mohamed Awad a été remplacé sur un cliché modifié par intelligence artificielle. La communication du maire plaide l’erreur.
Si le gouvernement de François Bayrou se retrouve dans la même situation que celui de Michel Barnier, les troupes de Marine Le Pen se vantent moins de la pression exercée sur l’exécutif que de leur influence.