Alors que le Rassemblement national a déjà de gros soucis du côté de Bruxelles et Strasbourg, avec notamment 4,3 millions d’euros «indûment dépensés», l’absentéisme du parti d’extrême droite reste élevé au Parlement européen.
Trois ou quatre groupes pourraient disparaître si le seuil minimal pour en créer un était relevé à 25 ou 30 députés. Sans surprise, ils s’opposent à cette idée de la présidente de la Chambre basse.