Des vidéos montrant le petit garçon ont été relayées dans une conversation WhatsApp entre les travailleurs sociaux, à des fins d’humiliation. Une enquête a été ouverte ce mardi 9 décembre pour «violences volontaires sur mineur de 15 ans par personne ayant autorité».
En faisant acheter des machines de pointe pour fabriquer des semi-conducteurs dans son usine grenobloise par l’une de ses filiales domiciliée aux Pays-Bas, le groupe parvient à réduire, légalement et considérablement, son imposition en France.