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22:02 Quatre soldats israéliens blessés lors d'une opération à Gaza (armée)

L'armée israélienne a annoncé mercredi que quatre de ses soldats avaient été blessés lors d'une opération dans le sud de la bande de Gaza, territoire palestinien où une trêve fragile avec le mouvement islamiste Hamas est en vigueur depuis près de deux mois.

"Aujourd'hui, au cours d'une opération des forces de la brigade de reconnaissance Golani à l'est de Rafah, les soldats ont été confrontés à plusieurs terroristes qui sont sortis d'un tunnel", a dit l'armée dans un communiqué.

Des échanges de tirs s'en sont suivis et quatre soldats ont été blessés, dont un grièvement, a-t-elle ajouté.

Une source au sein du ministère de l'Intérieur du Hamas à Gaza a dit à l'AFP que "des véhicules de l'occupation (israélienne NDLR) ont mené une bombardement intense à l'artillerie à l'est de Rafah".

Elle a fait aussi état de raids aériens par des avions "qui survolaient le secteur (...) à basse altitude".

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accusé le Hamas de continuer de violer le cessez-le-feu et mener des "actes terroristes" contre les forces israéliennes, selon un communiqué de son bureau.

"Notre politique est claire: Israël ne tolérera aucune atteinte aux soldats de Tsahal (armée israélienne NDLR) et réagira en conséquence", a-t-il poursuivi.

L'armée israélienne avait affirmé dimanche avoir tué plus de 40 combattants palestiniens au cours de la semaine écoulée lors d'opérations visant les tunnels près de Rafah.

Des sources du Hamas avaient indiqué plus tôt que des combattants du mouvement étaient bloqués dans des tunnels sous Rafah, dans une zone contrôlée par les militaires israéliens. 

Une trêve est entrée en vigueur le 10 octobre, plus de deux ans après le début de la guerre déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas en territoire israélien le 7 octobre 2023. Les deux belligérants s'accusent mutuellement de la violer.

mib/brk/vl

© Agence France-Presse

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L'armée israélienne a annoncé mercredi que quatre de ses soldats avaient été blessés lors d'une opération dans le sud de la bande de Gaza, territoire palestinien où une trêve fragile avec le mouvement islamiste Hamas est en vigueur depuis près de deux mois.
"Aujourd'hui, au cours d'une opération des forces de la brigade de reconnaissance Golani à l'est de Rafah, les soldats ont été confrontés à plusieurs terroristes qui sont sortis d'un tunnel", a dit l'armée dans un communiqué.
Des échanges de tirs s'en sont suivis et quatre soldats ont été blessés, dont un grièvement, a-t-elle ajouté.
Une source au sein du ministère de l'Intérieur du Hamas à Gaza a dit à l'AFP que "des véhicules de l'occupation (israélienne NDLR) ont mené une bombardement intense à...

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21:38 Dans la presse   Des centaines de membres du Hamas se seraient échappés des tunnels de Rafah

Environ 200 à 300 combattants du Hamas piégés dans les zones occupées par Israël à Gaza et bloqués sous terre depuis des semaines auraient réussi à s'échapper en franchissant la « ligne jaune », selon un rapport publié mercredi par le journal émirati The National.

Ce chiffre correspond à celui communiqué ces dernières semaines par le mouvement islamiste et les responsables israéliens concernant le nombre total des miliciens qui auraient été coupés du reste de la branche armée de leur mouvement, incapables de communiquer avec le monde extérieur et peut-être même ignorants du cessez-le-feu. La semaine dernière, le Hamas avait appelé les acteurs internationaux à faire pression sur Israël pour qu'il autorise le retour de ses membres, après qu'Israël eut annoncé avoir tué 20 combattants « tentant de s'échapper » des tunnels.

Des sources informées de la fuite des combattants ont déclaré au National que, dans certains cas, des miliciens locaux soutenus par Israël avaient été soudoyés pour fermer les yeux ou pour guider les combattants qui sortaient de leurs cachettes vers les zones de Gaza contrôlées par le Hamas. D'autres, ont expliqué les sources, ont été libérés à la suite de travaux de réparation sur des tunnels qui s'étaient effondrés sous les bombardements, permettant aux combattants de sortir à Khan Younès, du côté Hamas de la ligne jaune.

Les combattants auraient été répartis dans trois réseaux de tunnels différents à Rafah. « Nous ne savons pas s'il reste encore des combattants vivants à l'intérieur des tunnels », a déclaré l'une des sources. « Mais nous pensons que la grande majorité de ceux qui étaient bloqués sont désormais soit morts à l'intérieur des tunnels, soit libres ».

« Affrontements intenses » à Rafah

Selon les médias israéliens et palestiniens, l'armée israélienne a bombardé Rafah mercredi après-midi, intensifiant ainsi les violations incessantes du cessez-le-feu par Israël depuis son entrée en vigueur il y a deux mois.

Certaines informations font état d'« affrontements intenses » et indiquent que des combattants du Hamas sont sortis de tunnels situés dans des zones occupées par Israël et ont engagé le combat avec des soldats israéliens avant de se replier dans les tunnels.

Plus tard dans la soirée, l'armée israélienne a annoncé que quatre soldats israéliens avaient été blessés, dont un grièvement, lors d'une « opération » menée dans l'est de Rafah, au cours de laquelle, selon elle, ses forces ont rencontré plusieurs combattants qui sont sortis d'une « structure souterraine dans la zone ».

Selon les sources du National, des membres d'élite de la brigade Khan Younès du Hamas figuraient parmi les combattants du Hamas bloqués au-delà de la ligne jaune. Ils étaient à court d'eau, de nourriture et de munitions, mais déterminés à ne jamais se rendre, ont déclaré les sources. Ni le Hamas ni l'armée israélienne n'ont commenté cette information.

Amnistie en échange du désarmement

Début novembre, l'envoyé américain Steve Witkoff a déclaré que la situation de ces dizaines de combattants du Hamas piégés dans les zones contrôlées par Israël pourrait servir de « test » pour les deux parties concernant le cessez-le-feu et aider les médiateurs à faire passer la trêve à sa deuxième phase qui, selon Israël et les États-Unis, devrait inclure le désarmement du Hamas.

« Nous espérons que cela servira de test et pourra être étendu ultérieurement à d'autres zones de Gaza », a déclaré une source américaine au site Axios, également début novembre. C’était avant que l'administration Trump n'entame des pourparlers visant à ouvrir un passage sécurisé pendant 24 heures, un délai au cours duquel les combattants du Hamas se verraient accorder un passage sûr en échange de la remise de leurs armes.

Cependant, Israël est resté fermement opposé à cette mesure et, alors que la première phase du cessez-le-feu touche à sa fin, les progrès vers la deuxième phase semblent toujours au point mort.

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20:57 Liberté de presse   La France « regrette vivement » la peine de sept ans de prison confirmée pour Christophe Gleizes en Algérie

La France « regrette vivement » la peine de sept ans de prison confirmée en appel en Algérie contre le journaliste français Christophe Gleizes, et elle « appelle à sa libération », a réagi mercredi le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères.

« Nous appelons à sa libération et espérons une issue favorable afin qu'il puisse rapidement retrouver ses proches », ajoute le porte-parole à propos du journaliste emprisonné depuis juin pour « apologie du terrorisme ».

La France « déplore que (la) pleine coopération (du journaliste) avec les autorités algériennes et les explications fournies par sa défense n'aient pas suffi à changer le verdict », et « rappelle son attachement à la liberté de la presse partout dans le monde », poursuit le porte-parole du ministère.

La confirmation mercredi du jugement en première instance par la Cour d'appel de Tizi Ouzou a suscité la consternation des proches du journaliste présents dans la salle d'audience, a constaté l'AFP.

Son frère s'est dit « abasourdi ». En Algérie, ses parents se sont dits « effondrés ».

L'ONG Reporters sans frontières (RSF) a dénoncé mercredi une « décision aberrante » de la justice algérienne.

Collaborateur des magazines français So Foot et Society, Christophe Gleizes s'était rendu en Algérie en mai 2024 pour un article sur le club de football le plus titré du pays, la Jeunesse Sportive de Kabylie (JSK), basé à Tizi Ouzou, à 100 km à l'est d'Alger.

Le journaliste a demandé « pardon » à la barre de l'audience mercredi, et a notamment reconnu qu'il aurait dû demander un visa de journaliste et non de touriste avant de partir en reportage en Algérie.

La classe politique française s'est aussi émue de cette condamnation. « Sa condamnation à 7 ans de prison est une profonde injustice. Nous ne l'abandonnerons pas », a dit sur X le président du parti Les Républicains Bruno Retailleau, qui avait prôné une ligne plus ferme à l'égard d'Alger quand il était ministre de l'Intérieur jusqu'au début de l'automne.

« Cette condamnation en Algérie est grave et inquiétante », a également réagi le chef des députés socialistes Boris Vallaud, précisant que son parti demandait « la libération immédiate du journaliste Christophe Gleizes ». « La France doit faire entendre sa voix. La liberté de la presse, ici comme ailleurs, doit être protégée à toute force », a-t-il ajouté, sur le même réseau social.

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