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13:18 Syrie: accord de cessez-le-feu entre jihadistes français et forces armées

Les autorités syriennes et les jihadistes français dirigés par Oumar Diaby sont parvenus à un accord pour mettre fin à leurs combats dans le nord-ouest de la Syrie, ont indiqué des sources concordantes mercredi à l'AFP.

L'accord prévoit un cessez-le-feu entre les jihadistes retranchés dans un camp de la région de Harem, dan la province d'Idleb, près de la frontière turque, et les forces gouvernementales, selon le texte obtenu par l'AFP.

Le cessez-le-feu est respecté mercredi, selon un responsable local de la sécurité et une source des jihadistes français, contactés par l'AFP.

Mardi, les forces de sécurité syriennes avaient encerclé le camp, accusant Oumar Diaby, alias Omar Omsen, d'avoir enlevé une fillette et de refuser de se livrer aux autorités.

"Il y a eu un accord prévoyant un cessez-le-feu, le retrait des armes lourdes" et permettant aux autorités syriennes d'entrer dans le camp, a affirmé le responsable local de la sécurité qui a requis l'anonymat.

L'accord prévoit en outre que l'affaire de l'enlèvement de la fillette soit confiée au ministère de la Justice. 

Les combats mardi étaient les premiers annoncés par les autorités avec des jihadistes étrangers depuis qu'elles ont pris le pouvoir en décembre 2024, après avoir renversé Bachar al-Assad.

Le gouvernement d'Ahmad al-Chareh, qui veut rompre avec son passé jihadiste, avait appelé tous les groupes armés à se dissoudre et intégrer la nouvelle armée.

Les jihadistes dirigés par Oumar Diaby, un ancien délinquant franco-sénégalais de 50 ans devenu prêcheur, sont estimés à quelques dizaines et sont retranchés dans le camp avec leurs familles.

Selon Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), des "jihadistes étrangers", en particulier d'Asie centrale, avaient "mené une médiation" mardi pour parvenir à une issue pacifique.

Les jihadistes français qui se font appeler "Firqat al Ghouraba" (le groupe des étrangers) constituent un rassemblement marginal et sans lien avec le groupe Etat islamique, qui avait régné par la terreur en Syrie et en Irak avant d'être défait.

str-mam/at/tp

© Agence France-Presse

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Les autorités syriennes et les jihadistes français dirigés par Oumar Diaby sont parvenus à un accord pour mettre fin à leurs combats dans le nord-ouest de la Syrie, ont indiqué des sources concordantes mercredi à l'AFP.
L'accord prévoit un cessez-le-feu entre les jihadistes retranchés dans un camp de la région de Harem, dan la province d'Idleb, près de la frontière turque, et les forces gouvernementales, selon le texte obtenu par l'AFP.
Le cessez-le-feu est respecté mercredi, selon un responsable local de la sécurité et une source des jihadistes français, contactés par l'AFP.
Mardi, les forces de sécurité syriennes avaient encerclé le camp, accusant Oumar Diaby, alias Omar Omsen, d'avoir enlevé une fillette et de refuser de se livrer aux autorités.
"Il y a...

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12:56 Parlement   Nabih Berry convoque les députés le 28 octobre

Le chef du Législatif, Nabih Berry, a convoqué le Parlement pour une séance plénière le mardi 28 octobre 2025 à 11h00, selon l’Agence nationale d’information (Ani, officielle).

« Cette séance sera consacrée à la poursuite de l’examen des projets et propositions de loi inscrits à l’ordre du jour de la séance du 29 septembre 2025 », a précisé le communiqué relayé par l’Ani.

Ce jour-là, la séance avait été avortée en cours de route après que les députés des Forces libanaises et des Kataëb ont, une nouvelle fois, claqué la porte de l’hémicycle, sur fond de tensions entre les députés réunis pour une séance plénière au cours de laquelle la question du vote des émigrés avait provoqué des remous. Le quorum avait été perdu, entraînant la levée de la séance. Le même scénario s’était reproduit le lendemain.

Une partie des députés, dont le mouvement Amal du président du Parlement, Nabih Berry, souhaitent conserver telle quelle la loi électorale de 2017, qui prévoit l’ajout de six parlementaires « des Libanais de l’étranger », tandis que d’autres, dont les FL, militent pour un amendement permettant aux émigrés de voter pour l’ensemble des 128 sièges actuels, en fonction de leur lieu d’origine.

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12:32 Enseignement public   Les professeurs contractuels de l’UL appellent l’État à leur accorder le statut de vacataire à temps plein

Les professeurs contractuels de l'Université libanaise ont invité le président Joseph Aoun, le Premier ministre Nawaf Salam, la ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur Rima Karamé, et le recteur de l’université publique Bassam Badran à remettre à l’ordre du jour le dossier des statuts de vacataire à temps plein, un contrat intermédiaire entre leur situation actuelle et celui d'enseignant cadré. Le dossier est bloqué depuis onze ans pour des considérations d'équilibre communautaire.

« Depuis 2014, date à laquelle le dernier dossier d’intégration au statut de vacataire a été approuvé, l'Université libanaise n'a connu aucun nouveau recrutement à temps plein. Et pourtant, le nombre d’étudiants a doublé, les programmes académiques et de recherches se sont développés, imposant aux professeurs contractuels des charges supplémentaires dépassant leurs capacités, dans des conditions matérielles et fonctionnelles difficiles qui menacent la stabilité et la pérennité de l'université », a souligné le communiqué publié par les contractuels, une quarantaine de représentants de toutes les facultés et sections de l’UL.

« Quelque 1500 professeurs sont aujourd’hui candidats au statut de vacataires à temps plein », affirme à L’Orient-Le Jour Hicham al-Falou, professeur de physique à la faculté de Sciences de l’UL de Tripoli (section 3). « Nous réclamons que nos contrats temporaires soient transformés en contrats permanents à temps plein », explique-t-il. Et pour cause, les contractuels ne perçoivent ni salaire mensuel, ni indemnités de transport ou de fin de service, ni allocations familiales, pas plus qu’ils ne sont affiliés à la Caisse nationale de sécurité sociale. « Nous demandons un salaire mensuel et les allocations auxquelles nous avons droit », souligne l'enseignant, invitant les responsables à mettre le dossier des contractuels de l’UL à l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil des ministres.

Alors que l’équivalent du salaire moyen d’un enseignant de l’UL oscille aujourd’hui entre 2000 à 2500 dollars sans compter les allocations et autres avantages, les professeurs contractuels de la seule université publique du pays n’ont perçu, l’année dernière, qu’un salaire horaire équivalent à 25 dollars en moyenne. Avant la crise de 2019 et l’effondrement de la livre, ce salaire horaire atteignait 66 dollars pour l’échelon le plus élevé. « Selon l’échelon, le salaire horaire varie aujourd’hui entre deux millions et deux millions quatre cent mille livres », précise M. al-Falou, évoquant « la promesse du recteur de l’UL Bassam Badran aux contractuels de faire évoluer ce salaire à 45 dollars l’heure ».

« Aux demandes de temps plein, s’ajoute le fait que le salaire horaire des contractuels de l'Université libanaise est devenu le plus bas de toutes les universités du pays », ont ajouté les eneignants mobilisés. Ils ont enfin dénoncé le manque de budget alloué à l’UL.

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