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17:59 Jordanie: le Parlement adopte une loi rétablissant la conscription

Le Parlement jordanien a adopté lundi une loi rétablissant la conscription pour les hommes à partir du début de l'année prochaine, plusieurs décennies après la fin du service militaire obligatoire, ont rapporté les médias d'Etat. 

En août, le prince héritier Hussein ben Abdallah avait annoncé le retour de la conscription --supprimée en 1991-- afin de "préparer les jeunes hommes à être prêts à servir et défendre le pays". 

Le gouvernement avait ensuite transmis le projet de loi au Parlement pour examen. 

Après son adoption, le texte doit désormais être ratifié par le Sénat avant d'être soumis au roi pour approbation. 

Selon l'agence officielle Petra, la Chambre des représentants a largement "approuvé une loi amendée sur le service national et de réserve" lors de sa séance de lundi. 

La session s'est déroulée en présence du Premier ministre Jaafar Hassan, qui a déclaré que la loi "fera partie des priorités du gouvernement dans la période à venir, en vue de son application au début du mois de février prochain". 

Le porte-parole du gouvernement, Mohammed al-Momeni, avait précédemment précisé que le programme viserait à recruter 6.000 hommes âgés de 18 ans d'ici février prochain. 

Il avait ajouté que la peine encourue pour non-présentation au service militaire varierait entre trois mois et un an de prison. 

A terme, le gouvernement ambitionne de conscrire 10.000 hommes par an. 

La Jordanie avait mis fin à la conscription en 1991, trois ans avant la signature du traité de paix avec Israël en 1994. 

M. Momeni a par ailleurs rejeté tout lien entre le rétablissement du service militaire et des déclarations du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui avait semblé, en août, soutenir l'idée d'un "Grand Israël". 

L'expression "Le Grand Israël" fait allusion à des frontières bibliques du temps du roi Salomon qui engloberaient la Cisjordanie mais aussi une partie des territoires situés dans les pays voisins (Jordanie, Liban et Syrie), que des Israéliens ultra-nationalistes rêvent d'occuper.

kt/jsa/srm/hme/gl

© Agence France-Presse

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Le Parlement jordanien a adopté lundi une loi rétablissant la conscription pour les hommes à partir du début de l'année prochaine, plusieurs décennies après la fin du service militaire obligatoire, ont rapporté les médias d'Etat. 
En août, le prince héritier Hussein ben Abdallah avait annoncé le retour de la conscription --supprimée en 1991-- afin de "préparer les jeunes hommes à être prêts à servir et défendre le pays". 
Le gouvernement avait ensuite transmis le projet de loi au Parlement pour examen. 
Après son adoption, le texte doit désormais être ratifié par le Sénat avant d'être soumis au roi pour approbation. 
Selon l'agence officielle Petra, la Chambre des représentants a largement "approuvé une loi amendée sur le service national et de...

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17:14 Diplomatie    « Le Liban s'engage à ne pas servir de plateforme pour le trafic de drogues », dit Salam à Ben Farhane

Le Premier ministre libanais Nawaf Salam a assuré lundi au conseiller du ministre saoudien des Affaires étrangères, Yazid ben Farhane, arrivé lundi à Beyrouth à la tête d'une délégation saoudienne, que le Liban s'engageait à « ne pas servir de plateforme pour le trafic de drogues ».

Ce déplacement intervient quelques jours après l'annonce saoudienne d’une relance prochaine des relations commerciales entre Riyad et Beyrouth qui a suscité un vif enthousiasme parmi les responsables libanais.

La délégation a été reçue par le Premier ministre Nawaf Salam avec qui elle a discuté des mesures concernant la reprise des exportations libanaises vers l'Arabie saoudite, selon le Grand sérail. M. Salam a souligné « la nécessité pour les autorités concernées d'agir rapidement afin de lever tous les obstacles qui entravent ce secteur vital pour l'économie libanaise ». Il a aussi « réaffirmé l'engagement du Liban de ne pas servir de plateforme pour déstabiliser la sécurité des pays arabes ni de point de passage pour le trafic de drogue ou de toute autre marchandise interdite ».

Le Liban attendait l’émissaire saoudien plus tôt, mais celui-ci avait « retardé » sa visite à Beyrouth, selon des informations de L’Orient-Le Jour publiées le 1er novembre. Cela avait été compris comme un mécontentement saoudien face au « laxisme » du pouvoir libanais à entreprendre des démarches concrètes afin d'appliquer la décision de consacrer le monopole des armes aux mains de l’État, selon un article du quotidien saoudien Okaz.

Le Liban peine à appliquer les décisions gouvernementales du 5 et 7 août visant à désarmer les milices, notamment le Hezbollah, qui continue de rejeter cette option. Entre-temps, le risque d'une escalade militaire israélienne plane sur le Liban, alors qu'Israël continue de bombarder le Liban-Sud et la Békaa en violation du cessez-le-feu conclu en novembre dernier.

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17:02 Liban   Le nouvel ambassadeur américain Michel Issa remet ses lettres de créances à Aoun

Arrivé vendredi à Beyrouth, plus d'un mois après sa validation officielle par le Congrès début octobre, le nouvel ambassadeur des États-Unis au Liban, Michel Issa, a présenté lundi matin ses lettres de créance au chef de l'Etat libanais Joseph Aoun.

« Le président Joseph Aoun a reçu les lettres de créance du nouvel ambassadeur américain Michel Issa, qui lui a transmis les salutations du président américain Donald Trump et son souci de renforcer et de développer les relations américano-libanaises dans tous les domaines », a annoncé la présidence sur X. De son côté, M. Aoun a souhaité à l'ambassadeur plein succès dans sa mission.

Le diplomate a par la suite été reçu par le président du Parlement Nabih Berry à Aïn el-Tiné, qui a estimé dans un communiqué que la rencontre était « bonne et franche ». Le diplomate originaire de Bsous (Aley), qui avait été nommé par Donald Trump dès le mois de mars, a aussi rencontré le Premier ministre Nawaf Salam, à qui il a affirmé la volonté de Washington de « renforcer les relations avec le Liban », selon un communiqué du Grand sérail. De son côté, M. Salam a souhaité à l'ambassadeur plein succès dans ses fonctions.

Plus tôt dans la journée, M. Issa avait entamé sa tournée locale par une réunion avec le ministre des Affaires étrangères Joe Raggi.

Dimanche, le diplomate avait été chaleureusement accueilli dans son village natal. Dans un discours informel prononcé en marge d'un office religieux, il a appelé les Libanais à l'unité. « Tout le monde nous regarde et se montre prêt à nous aider. Mais si on ne s'entraide pas, personne ne nous aidera. Nous devons apprendre à être unis », a-t-il souligné.

Ami et partenaire de golf du président américain, Michel Issa succède au siège de la chancellerie à Aoukar, dans la banlieue nord de Beyrouth, à Lisa Anne Johnson, qui était en poste depuis janvier 2024. Son arrivée intervient alors que le risque d'une escalade militaire israélienne plane sur le Liban, où l’État hébreu poursuit ses frappes quasi-quotidiennes en dépit du cessez-le-feu conclu en novembre de l'année dernière.

Devant la commission des Affaires étrangères du Sénat américain, Michel Issa avait appelé en juillet à une action urgente contre le Hezbollah, affirmant que son désarmement n’était pas une option, mais une nécessité.

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